~apprimer les trois termes C9' + ~49" + ~6" en fuppofant res con~ tantes C, A, D, renfermées dans les quantités arFedées du figne f, ce qui eft permis, & limplinera beaucoup l'expreiMon précédente, en la
'd ïi Il' III! +' "f r~~ Z
jréduiïant ceile-c: 9'V + </
-3'" ~7 Z 8~ O" Z
6" ) 6" t
remarquera encore qu'à caufe de = ( -~r/ & <~ = ~( i ïe fecond & le quatrième terme fe réduifent à ( i, /1. ,7~L– ~n.HeH vifble que par cette formule
( 0' ~/J
pour le troifième ordre, on trouvera aifément celle du quatrième, comme on a trouvé celle du troiïième par celle du fecond & ain~ déduite.
/h~ Au reUe, pour que les féries fe terminent, il eft necef!aire non" 'feulement que le numérateur d'un des coëfficiens devienne enfin = o, mais encore que le dénominateur ne toit pas zéro avant que le numérateur le foit. 11 faut donc avant de prononcer ïl la férie eft finie examiner fi l'inconvénient dont il s'agit ne peut pas avoir lieu. Suppofons, dans I<s cas de l'article 7~ r == o, le numérateur fera évidemment ~t-~i+"].~ étant un nombre entier pofitif (en y comprenant zéro) égal à –?–; & le dénominateur-
F,
fera p r; <~ ] Or il citvinble j.° que te fadeur i du dénominateur ne peut devenir == o puifque ne fauroit être <~ 2. 2.° que n ou, «qui e~. la même chofe, a eH an nombre entier pofitif =: i + r. p
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pouvant être = o, &~ étant <; a, ï ~t -j- p~) fera = o, lorfque t /'i -{- ne pourra pas encore l'être, étant encore un nombre tfécatif. Donc <: eft un nombre entier pofitif <; r
-<- t c~
.p~ t ,ators la férié se fe terminera pas, o&
J{)l}. 1 -t- 1) a ors a .Iene nie le termmel'a. pas; QIl