/2<~ Soit en général l'équation + + -{-
d.Y
Y" ~f dxk & foît mis dy + d A" à la place de Y'dy +
== o & fbit mis + a !a~)ace de V~-{-
<~ y ~L
dx, nous aurons d log, yx xod? y + Y- dyk ~'d, xl o fai faat
nous aurons <~ kg. + ==. Oj faffaat
~nc -L = nous aurons ~< + r" x = o,
d~
ou~y"< ~==o;cquationsdont!aprem;ere e<t intcgrabfe Jtf'* eR égal à une quantité courte, !a féconde 6 y" JT* eft égale à une quantité confiante.
/h j) On voit, par exemple que toute équation de cette forme + -i~- -{- + = 0 eit mtegraMe, pu~ K r~ y' b ~~y c'i_ 0;
qu'elle fe rédun à ~< + + -~7 + J °~
qu'eIIe(eréduità¿dy ue + xdx + dy J==O;
& ainft d'une innnite d'autres, beaucoup plus générales & plus compit-. quees que ceiie-ci.
On peut former par cette méthode une grande quantité d'autres équartions différentielles du fécond ordre qui ibient intégrales. Par exemple,
on fait que + <~ + ~y' dx = 0 ou -{- dx +
p
jr~ o eft intégrabte, & ~étant des fondions de ~r; ïbrt donc = x K'~ & toit fait dx contant, on aura + + + +
+ + -T- + +
d,v X' Y'" y
o ou ce qui revient au même, en faifant ~y. = V*~
d 1/ 1
+ + r'~ + = o, & f. on faifbit contant, on auroit -{- + + ~</y x o. Ce qui renferme le Théorème <fe
i'~r~~ ci-denus.
(~2~~ On parviendroit par cette méthode à trouver !'Intégra!e Je + 6'Z< = o par celle de </ + 6Z<~ -r ~C = e,