On peut remarquer que dans la différentielle de l'équation A p & f ne montent qu'au i." degré, & que dans celte de l'équation B f & ne montent auD! qu'au i." degré. Donc l'équation (C) combinée avec l'équation (B) donnera d'abord une équation entre a-, &) .f, que j'appelle (E); & l'équation (D) combinée avec l'équation (A) donnera une équation entre que jappeife (~ on fera évanouir &, & p des équations (E) & ( par le moyen des équations (A) & (B) & on arrivera aux deux équations finales entre 9, &"< qui doivent être identiques. L'identité abfolue de ces deux équations eft nécenaire pour que fa propofée ait, comme je l'ai dit, une intégrale générale ppntb!e~ par ïa raifon que cette intégrale ~<° contient néceuairemcnt une conflante arbitraire qui ne fe trouve point dans les deux énuations entree, & x, y, & que néanmoins ces deux équations doivent avoir lieu en même temps que l'intégrale générale; ce qui ne peut être à moins que fe~deux équations ne foient identiques, c'eH-adire, à moins que les valeurs de & de <r ne fbient exprimées de fa même manière en x, y, Mais il ne me paroit pas démontré, que les valeurs de & de doivent aum être nécenairement identiques iorfqu'it eft queflion d'une intégrale particulière. 1! fuffit, ce me tembte, qu'en fuppofant les valeurs de 9 & de <r égates entr'elles, i'cquation en qui en réfuitera, s'accorde avec l'intégrale particulière fuppofée. J'ai traité ce point plus à fond dans une lettre à M. de la Grange, imprimée dans- les ~~f. de Bèrlin de 7;7~, 2~. Oa, va voir dans les deux Théorèmes fuivans, en ne fuppofant que deux variabfcs,. des intégrales particulières qui fatisfont à un'e équation din'érentiet<e,. quoique la dMerentianon de ces intégrales ne donne pas i'équation diffé-rentielle propoïée.
On pourroit objecter que quand même ne ~ëfoit pas ==
On pourroit °Je ç.. que quan meme </j* ne- ftroit pas =-
!es quantités /–Ζ </ A- r & /–ZL y ne dilfc-
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reroient que d'un infiniment petit du fecond ordre; d'ouFon feroit porté à conclure qu'en prenant dx &dy finies, les valeurs totales de répondantes à x d x & à y ou à & d x ne dilTéreroient que d'un infiniment petit du premier ordre & par