'vaIeLu'.jJes~pm~tes. jde cet inârument; i! emploie pour cela une mire quitpour'.etrë vue dè loin, a la ftngutière propriété d'offrir ài'obleryateùr,! des. traits très'-gros, au moyen désuets; iipeUjt tne~rdes intervaites très-pe~ts~ce Mémoire :baii&tpat-itout d~ j~Bmeide i'i~antieaa.f&ipn~nepeut: ~~ire fans admifer~es:refJfources qu'u a&iSa.~ procurer i pour éviter des.dimcuifes qui au premier- coup~d'pa.roiGotent-mfurmontabies~ ce fera le dernier ouvrageJqu'&n am'a de lui, & U eu:.bien propre à ~aire regretter ceux' qn'it ~epropoïbit encore '~reejÏu~et &. que. ia mort i'.i éfrtpêchë d'exëcater. ~L
M. le Duc de Chau!ïte& étoit du caractère le plus -aimable, là douceur qui en raijfb!t la baie, étoit ornée de~a poiite~ë du grand monde & de ta Cour, au~n ne'comptoit~t prefque que des amis dans tous ceux avec Iefquels il vivoit, 'ie Roi même qui connoinoit fon, zète &: ion mérite, lui donnoit iouvent de ces -marques de bonté qui font ia iatisraction du bon fujet & ia. ~eiicité de. l'homme de Cour. Dans la fituation où il fe trou.voit, it 1 fembloit être à l'abri des revers &: des chagrins, il en enuya cependant de virs & de iongs, il y oppo& la con~ance que preicrit la Philofophie & la patience qu'infpire la Religion mais on ne lutte pas impunément contre de tels ennemis, & fon tempérament quoique fort, y jfuccomba; il tomba malade au commencement de l'été dernier & le mal alla eu augmentant jufqu'à la mi-Septembre il y eut alors une apparence de mieux, il fe leva même & iortit en carroffe pour fe promener, il devoit partir inceffamment pour aller paffer le refte de la belle faifon dans une campagne près de Paris; le jour étoit pris pour ce départ & (es amis invités à aller lui tenir compagnie: vains projets! la veiite du jour auquel i[ devoit partir, il fe trouva plus mal au moment où l'on s'y attendoit ie moins &. mourut le 2 Septembre 1760, en moins de cinq heures, d'une mort qu'on pourroit peut-être nommer fubite, mais qui n'étoit certainement pas imprévue, ayant mis ordre quelques jours auparavant à fes affaires temporelles & reçu les derniers Sacremens avec les fentimens les plus marqués de la piété & de la religion qui avoient toujours été la règle de fa conduite; fon corps fut porté à la Sépulture de fa mai~accpm-