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les mêmes pierres brûlées dans le même état qu'à Saint-Gén~, où la préiënce du feu n'e(t pas équivoque &. s'il fë trouve quetques carrières de tripoii où ices fignes manquejit, ne pourroit-on pas fuppo~er qu'it s'e~~brmé plus haut, &: y a été entraîné par îes eaux qui l'y ont déposé ?
H feroit donc très-nature} de conclure que le tripoli eft eÛen~ tiellement un tchlite ou une g!a!(ë brûiée, on a fouvent adopté en Phyfique des opinions moins appuyées de preuves; mais M* Fougeroux n'oie encore prononcer fur cet article, & ne propose fes idées, que comme un motif aux Naturalifies d'étudier de plus près la nature de cette matière. Plus on eft au tait de rHiâoIre Naturelle &: moins on fe prefiè de donner des décinons générales.
.SUR
f~ RAPPORT DES D7~<7Vr~ D~ D~ Z~~P~7~DF-r7~
AVEC SES DIFFÉRENS JDjEC~~ DE ~O~CË. N a dû s'apencevoii' de bonne heure, ~H'en mé!ant de l'eau pure à une liqueur fpintueufe comme, par exemple, de l'efp)it-de-in on arfoibHnoit ce dernier dans la même proportion .qu'on y joignoit de i'eau en forte qu'une liqueur compofée de parties égatt.s d'eau & d'efprit-de-vin, étoit de moMé m~ms ~ofte, ou moins fphitueufe que i'efprit-de-vin .pur..
n réfultoit encore néceffairement du mélange des deux HqiieufS, que t'eau étant (peciriquement ptus peinte que i'efprit-de-in la liqueur compose des deux devoit être d'Lme gravité Ipécirique, moyenne entre i'un & l'autre, & ju<que- }à on avoit bien rai~mé; mais on fe preHa un peu ~rop de conclure qtte cette augmet~tation de petanteur étoit toupurs proportionneHe à la quantité d'eau pure <ju'on y avoit rait entrer, c'eu:-à-diree4i raison inverfe de ~a~b)ce de la liqueur, & cette conctunonquoiqu'univerfëMement adoptée par les Physiciens âtt déme~He par ~'expérience.
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