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~e ~gnë -t- ayant lieu pour les nombres impairs des furfaces, & ie itgne pour les pairs.
30. Dévetoppons donc ces angles par les expo&ns w', '7r", &c. &: à canfë de == nous obtiendrons
.), à.r- M~~
==– Bégaiera–
+ p à +
:TI. yT~ nu 1~ 7l, II.
n. = 1)7" +. (rI-¡J7f' i f/I il'
N~ B"a"' <B~ ~e'«'V &c.
& pai-tan.t le dernier nous ~buiTut cette equadon
M~t
–=–"<V–t-Tr"Y~&c. ~.o. VoiRNne'6)m!u!e anez umplequîtertàdëtErmmerie champ apparent par les~ëuis expoânsd'ouverture'7f~&c. ie gi-omnement M étant donné d'où ion déduit aiîément les conditions fous ieiqueUes on peut ampii~er le champ apparent. Je remarque j~îeme~ que fa valeur de <p doit eue poutive; à quoi il eft aitc de &ds6i]'e, poilue les fn~t~ms w', '!r", &e. peuvent être prues tant négatives que pofitives on voit aun~ de-ià que plus on veut ampii~er ie champ, & plus on doit employer de fur&ces.
4.1. Les écïairciuemens que la troineme conudération vieut de nous fournir, font 6ns doute de fa plus grande importance, en nous ayant mis en état de mieux nxer !e iieu de i'ceil &: d'amgner à chaque furface fa jufte ouverture; mais principalement ia dernière formule pour !e champ apparent eft un aïtidetrès-cHentiei pour periecUonner les tn~rumens de Dioptrique.
4.2. Jusqu'ici je n'ai conndéré que les phénomènes qui ~ont produits par tes rayons moyens; i! ne re~e donc ptas
MN~
h
Formule
pour
déterminer
le
champ
tpparenh
-1
Bbbb iijf