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les couches fphériques w/ ~<p, de différente hauteur, ] & par là de différente dénoté, qui compofent l'atmolphère ce qu'il dt vifible qu'ils ne font pas, à caufe de i excentricité de ces couches relativement au point A; les plus banès w/, <p, y étant rencontrées plus obliquement que les plus hautes & de plus, felon que toute l'atmo~hèt-e &. ces couches feront luppolées moins épaifles & plus près de la Terre: comme on peut le déduire de t'énoncé du Théorème ci-deiïus, indépendamment de la réfraction, & comme je l'ai démontré dans les Mémoires de l'Académie de 1~2. i.
~.p. Il n'y a donc ici d'autre reHburce que l'obtervauon immédiate des quat~tités de lumière qui parviennent au point A de différentes hauteurs & je ne vois rien de mieux à faire en ce cas que d'adopter les obiërvations & les expériences qu'en a faites M.~o~~ & que j'ai tout lieu de croire auffi exactes qu'ingénleu&s. Il les a réiumées à la fin de fon ~'6~ ~N~/CM ~? Lumière, dans une Tabie à trois colonnes, dont la première donne les ~f/ <~y<?~ de /f fur l'horizon de 10 en 10 degrés, depuis le zénith jufqu'à /o~, de 5 en $ depuis 70 jufqu'à .20, & de degré en degré depuis ~.o juiqu'à zéro ou à l'horizontale. La feconde colonne contient les Maffes < exprimées eu équivalentes d'air d'ici & la troinème les Forces ou les intentés de la lumière des Aflres, ~M'~ Mn~ /M~, le tout dans la flippofition que le nombre o o o o ~nyy~ force lumière que d'entrer dans Mo~ Ainfi chacun des nombres de la troifième colonne de M. FM/~MT, retranché de 10000 exprimeroit la force perdue de la lumière à ce paffage. Mais nous n'avons besoin ici que des forces actuelles & pofitives qui retient à la lumièn: après les pertes, & ce n'eft auffi que la colonne qui les exprime, jointe'a celle des hauteurs folaires, que nous retiendrons de fa Table, dans l'extrait qui fuit.
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