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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1765

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1765

Description : 1765.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3563c

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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révolutions d'un charbon ardent attacne a ia cro.x ~<pendute à fecondes ptacée près de lui, indiquoit le temps écouté entre chaque coup du martMU de la machine; voici iesréluitatsdei'expéience. A ~r -t La vîte~e du charbon étant teHe qu'il y eut 30 fondes entre chaque coup de marteau, c'e~-à-dire d'environ 8 tierces par révolution, ianneau de feu paroiubit continu & fans aucune interruption mais quaixt on la ndentinoit jufqua ce qu ity eut cernent ~i i fecondes d'intervaHe entre chaque coup de marteau, on voyoit dans l'anneau lumineux des m~ns de difcontinuité. La même chofe avoit lieu iortquon plaçoit fur a croix deux charbons à des dniances inégaies, avec cette feuie dine~nce qu'en diminuant la vïteue, fa di~ontmuite de lanneau fe <ai!bit remarquer dans !e gr~d p!u. tôt que dans le petit; la même apparence iubMoit encore ior~quon regarda par une fente qui ne permettoit de voir quune partie de Fanneau, preuve évidente que ce n'étoit p un mo~eme~ machind & Involontaire de i'ceii qui, en ~vant te chafbo~ > auroit produit rapparence de l'anneau, eMe avoit encore heu, foit que l'Observâtes em~oyat au lieu de ia vue ~mpie, une lunette ou une pinnute don il Mt qu'il ne pouvoit être attribué qu'à la durée de la fenfation.

M. le Che~iier d'Arcy s'y prit encore du~utre m~ nière ii plaça ie corps lumineux demèfe h machme & fixa ~1 âne des branches de h croix, un ditque opaque, qui, à chaque révolution, ie cachoit en panant;~ fenfation de ce corps ium~x parut être fans interruption dès quii fe trouva entre chaque coup de n~u hm~ne, un in~e de ~o ou 4. te qui (emNe~ M~~ pas ta même pour p~ui~ hMtton <rtm cerde lumineux, que pour donner ia Mtidt~ontinue dun po~ lumineux devant iequei pa~ un difque ~q~ eu-il plus diScne de sabrer de contmuité,de!a Maon continue du point iumine.ix.que de h~tmuté de l~ne~ ~r-tout cette différence de vîtdïë n'allant p~ un qu~t de tierce ou à h 2~0.' partie d'une féconde.