ipbéj'iquÊ~ & etk peut également s'appliquer aux lunette! rendant fa diuance de l'objet à la première fugace comrn~ in~mk.& aux microtcopes en la. fupps~nt à une a~ez petite di~t~ de ia ptemière furface fé~ingente~
M'en: évident qu'en fai6nt évanouir, ou au moins rédui&nt
a teur moindre valeur poinble, les termes de t'équation qur expriment l'aberration de (phéricité, on parviendra à obtenir iës proportions & les arrangemens des jfur~ces, qui feront iey ptùs conven~btes à i'enht qu'on pnopoïë, puifque ce n'eA que par le moyen de ces proportions qu'on pourra parvenir à détruire t'aberration de fphericité, bien entendu qu'on ait eu égard dans ce catcul à i& dinerente réfringence de chaque furface; h formule à iaqueHe arrive M. Euier p~é&nte toutes tes quantités necenaires, exprimées par tes Symboles- même aigébriques, qui ont formé l'équation, & qu'il n'y a plus qu'à réaliser, pour ainfi dire, félon le befoin.
La même équation donne encore, fous les mêmes expref-
nons, les ouvertures qu'oh doit donner ~chacune des &~ce& rémngentes, le pouvoir ampHnant de {Tnniument qui en fera compofé, tes angles de cliaque rayon avec !'axe &: te lieu où i'ceit peut être ptacé ie plus avantageusement pour apercevoir ~a dernière image apï@! ïe grômilëment qu'e!~ aj~~ -cr.
Juiquici nous avons fuppofé que tous ies oyons etotent
également rérrangibies, &: c'en: !a raubo pourJaqueueM. Euler a pris leur état de rétrangibiMté moyenne; ils ne ie ifont cependant pa& Oc it uaîn'tHt. dé-là une autre aberration des t'ayons, din~remmeat cobrés, qui ~roit beaucoup plus incommode que ta première & dont it s'agit de & délivrer. M. Euter y pM~isnt en ~i&nt vode! dans jbn ~M, les
termes qui exprimeat k t~angence; des ~a~~ d'abord Suivant !a rén-angibiiité des rayons. qt~i'oatbLphM grande,. &. ea~Mte &ivaat. eeUe des M)<aB& font ta p!u& pet~e, H obtîet< par c& moyen de nouveaux iuyecs & de no~vaHe~ itn~es, mais co ia)ag8~ ne font m à ta~ne djiR~aee~ Mt ~t~e~tre. eties, <~ d~~u& eues ~~d~03tdaaa di~rectes,