reteribourg devoit être pius court qu aotockoim,de fécondes
environ, & les Ruffes font trouvé de près de 2 minutes ptus
long. Je ne puis faire aucun ufage d'une telle obfervation.
A R T I C L E ÏX.
T~ parallaxe du Soleil par
des plus courtes /Z~7?f~ des centres de Vénus
J<7/~
Cette méthode n'exige pas, non plus que la première, une
connoinance précité de la longitude & de la latitude des iieux
où i'obfervation s'efl faite; mais elle demande au moins une
préciuon anez ~crupuie~e dans la détermination des moindres
diflances que l'on fait fervir de principes à la détermination
de la parallaxe du Soleil. Cette paratiaxe en effet étant environ
le tiers de la différence entre les moindres diflances observées
dans-ies lieux les plus favorablement Htués, l'erreur d'une feconde
dans la détermination de la diftance, en occafionnera une de
trois dixièmes de feconde dans la parallaxe.
Les lieux les plus avantageufement placés pour faire varier
fenfiblement ia moindre difhnce étoient d'une part le cap
de Bonne-efpér:mce&: Rodrigue, de l'autre Tobolsk & presque
toute l'Europe. Je ne fais fi l'on a fait au Cap des obiervations
propres à mon denein actuei, du moins je n'en ai jusqu'à
préient aucune ccn:)oinance. Rodrigue eft donc le feu) lieu de
comparaifon que je puhie établir dans la partie méridionate
de la Terre.
J'ai apporté tous mes foins pour déterminer avec }a plus
grande exactitude la moindre distance appât ente des centres à
Rodrigue. L'objet principal de ma mimon n'étoit point de
rediedër les éiémens de la théorie de Vénus, c'étoit de dé-
terminer la parallaxe du Soleil en conséquence, je me fuis
appliqué à mesurer, autant que les nuages Oc le vent me l'ont
permis, les di~ances entre ies bords les plus voifins de Vénus &
du Soleil. J'ai obiervé Ja plus grande à 2. t i 1 elle étoit