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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1761

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1761

Description : 1761.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3559z

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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des greniers ce ~roit une raifon de foupçonner qu'une partie de ceux dont les campagnes ïont inférées, provient des chenilles qui étoient renfermées dans les Semences, qui s'étoient t conservées dans la terre pendant l'hiver & avoient pris leur e~br,après leur métamorphose en papillons, auîn tôt que les premières doucet.trs du printemps s'étoient fait Sentir. Dans une matière moins intéreuante que celle-ci, i'obfervation qui vient d'être rapportée nous eût peut-être échappé, ou du moins auroit été négligée comme n'ayant pas encore acquis aiiez de fondement mais il s'agit d'arrêter la perte des biens les plus précieux que nous devions à l'Agriculture. Pourrions-nous craindre de montrer de l'inquiétude &. dilumuler le moindre Soupçon

Le 18 du même mois, nous trouvames Soixante-dix ou quatre-vingts papillons nouveaux dans la première cafe; nous n'en vîmes que deux dans chacune des autres diviuons on ne les voyoit jamais qu'en très-petit nombre dans ces deux dernières cafes, pendant qu'ils fourmilloient dans la première. A cette expérience, fur laquelle fe portoit principalement notre attention, nous enjoignîmes d'autres qui avoient le même but & tendoient à nous faire connoître fi les papiitons pouvoient s'échapper de deffous une terre fbutée modérément fi ioriqueiieeit compacte &. battue par les pluies, ces infectes ny trouvent pas des obstacles insurmontables fi enfin à la faveur des grains qui germent & îbûièvent un peu la terre autour d'eux, les papillons, logés dans des grains voinns de cëux-ia, ne viennent pas à bout de ie développer & de percer mfenhbiement ia terre qui les couv)~

It en eit réfuitéqueces infectes placés à un pouce de terre, iorfqueiie eft meuble & médioctement humide, n'ont aucune peine à s'y ~airejour qu'il leur en coûte peu aurn de s'échapper, lorfque le grain où ils étoient étabiis eft à côté de quelques autres qui germent & fbûièvent ia terre, en produisant au dehors ia jeune plante, mais quits ont beaucoup dcMacies à vaincre forfque la terre qui les couvre quoique douce & légère, a trois pouces ouMviron d'épaiilëui-, & qu'ils périflënt intaiiiibiement