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Notice complète:
Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie
Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte
Éditeur : J. Boudot (Paris)
Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)
Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)
Date d'édition : 1761
Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication
Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication
Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication
Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 74922
Description : 1761
Description : 1761.
Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k3559z
Source : Archives de l'Académie des sciences
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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Mturel, il ce neftque les vaifïeaux dércrens, & terminent chacL~n de leur cote, dans ie ba~n à deux tubercules blancs, qui ne paromoient avoir ni médiatement ni immédiatement aucu!]e communication au dehors.
A 1 ouverture du cadavre de cet enrant, M. Tenon chercha jnuthement !a vdiie; pour saturer de l'endroit ou eiie pouvoit être, jl ibuiha par les uretères, per~sadé que par ce moyen If aiiôit ta faire gon~er mais ii fut bien lurpris de voir que Je vent s'échappoit par deux petits trous ntués à droite & à gauche de cette tumeur externe & membraneuse, que nous avons dit rdîemMer à une mûre; it îoupçonna aum-tôt que cette tumeur pouvoit rbit bien être une portion de la veme, qui rormoit ia une hernie, & dont le rdte avoit été détruit ou ne s'~o!t pas développe.
~Pour s'en cciaircir, ii ~Ivit avec attention les artères, les \'e:nes ombliica!es & i'OLiraque, toutes parties qui aboutiMënt a )a veiùe, & il n-ouva querMivement eiies fë rendoient à la tumeur membraneufe, comme dat~ l'état naturd, avec cette didcrence que io~raque aboutifrbit a ce bouton cutané, placé au de~us du puhis, que M. Tcnc.~ reconnut par ce moyen pour iomb;hc qui, au lieu d'être ntué a i'ordinaire, étoit fcuiemer.t piacé pius bas; ce qui rendoit les artères ombilicales c~ louraque b~ucoup pius courtes qu'eues ne dévoient être natu~i!eme~.t, & fa veine ombi~aie, qui ~e termine au rôle, beaucoup pius lon~e.
mourut, om-it a M. lenon les mêmes phénomènes, à cela près que presque tousics organes de la génération manqucient; il ny a'.oit ni prostates, m véiicu[esiémin~!es, ni verge, ni Scrotum; M. Tenon .trouva~uiement dans deux piis tormcs par la peau des aines,
un te~oJe de chaque cô~é, garni d'un épidydime & d'un
canat adorent mais cefui-ci fë terminait en dedans à un tubercule blanc !an.s cavité & fans iuue.
H eft donc pius que probabie que, dans tous les cas dont nous avons parié cl-ddîus, ia conrormation monUrueuie étoit uj~e ventable h~nie de ia venie, fortie par ia ligne bi~che,