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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1761

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1761

Description : 1761.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3559z

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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abcès à la rate. Les reins étol~nt fort fains, comme tout le jette du corps.

Je m'abûiens de faire aucun raisonnement fur ce qui réfufte de ces expériences ,& fur les conséquences qu'on en peut tirer je ne donne aucune théorie fur ia caufe de la morve des chevaux, pour ne point m'expofer à paroître defbbiiger aucun de ceux qui en ont écrit, avec tefqueis j'aurois volontiers cot~ouru, & que je ~uis toûjours prêt d'aider pour t'avantage de ia chofe commune: je me borne à ia pratique pour la guérifon, que m'ont appris ces expériences qui font authentiques, parce que l'état des chevaux fur iefqueis ces expériences ont été iaiies. a auparavant été conflaté par les Maréchaux, & parce que le traitement s'en eu fait, pour ainfi dire, publiquement, par ordre & fous ies yeux de M." les Écuyers.

M.Servier.Maréchat des petites écuries du Roi, continue encore de faire tous les jours de fëmbiabies expériences, c'enà-dire, qu'il continue à traiter à peu près de même, des chevaux morveux avec plus ou moins de fuccès; iteHàdenrer quelles puiuent conduire à rendre le traitement d~ cette maladie plus court; je crois qu'on ne peut le faire plus nmpie.Ii connue à donner tous les jours, ie matin, au cheval morveux, depuis une demi-once jusqu'à une once & demie de mon éthiopsantimoniai, & tous ies (oirs une poignée de pervenche hachée dans du Ion. II en: nécen'aire, pendant iufage de ces remèdes, de purger le cheval très-fouvent, tous ies huit jours dans ies commencemens, enfuite au bout de quinze jours, puis trois femaines après, enfin au bout du mois.

Ce qui fait partie du traitement des chevaux morveux, c'eft le foin de leur nettoyer ies naféaux, pour les empêcher, autant qu'il e~ pombie, qu'ils n'avaient ieur morve, &. il faut leur iëringuer du vin dans la narine dont ils jettent.

li eft bon aum de bouchonner fouvent ces chevaux, de les promener tous ies jours au pas, & de les exposer au Soleil autant qu'on le peut.

Au rené, leur régime de vivre en: de manger de la paifle & du fon & de coucher dans une écurie sèche.