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C'en: en un mot la parallaxe de la réduction au méridien
du Cap.
L'effet de l'ondulation ou d'une efpèce de bouiifonnement:
des bords de la Lune, qui eiï: fi iréquent au Cap pendant que
le vent de fud-eu: ïbume, efl d'en faire paroitre le diamètre
un peu plus grand; & par conséquent la différence obfervée
entre le paratièle d'un bord de la Lune & celui d'une Étoile,
efi trop grande ou trop petite, felon que le bord obfërvé eft
celui des deux qui eft: !e plus éloigné ou ie plus proche du
parallèle de l'Etoile. Dans cet exemple, c'étoit le bord observé
qui étoit le plus proche; il faut donc ajoûter 2. ou Secondes
aux différences des paraitèies des Étoiles & du bord boréal de
la Lune vue du Cap ce qui doit augmenter la parallaxe ho-
rizontaie déterminée ci-deffus, d'environ 2 Secondes. Cette
quantité de correction eft rbndée fur ce que j'ai remarqué
plufieurs fois qu'ayant mis le fil de foie du curfeur de mon
micromètre fe mieux qu'il m'étoit poffible, fur un des bords
de la Lune ondoyante, fi l'ondulation venoit à cener tout-à-
coup, ce qui arrivoit fouvent ie fil fe trou voit écarté du bord
terminé de la Lune, de & même fécondes, felouque
l'ondulation avoit été plus ou moins vive: duns cette obser-
vation du Novembre 17~1, e!!e étoit médiocre.
Je paûe maintenant au calcul de l'afcenfion droite de la
Lune, tirée des obfervations.
momm~
Au CAP. A BOLOGNE. APARtS, AGREENW.
6 V. a -y.
D!C'.despan'.à)'hor!oge. ~2t';8",o i''i2';2",o ~n'~z" !n~h~~o"~ t~);o Réd.à~derév.diurne. o,~ 0,1 -+- -)- ",7 -)- t~ o.t t DiS'. en Kmps du t mob. '.2t.< t.t~8 t.n.c) t. n 6, t ,.n.n
Doncend<-grës. 20~9' t8~!t~7",o !0<'j8~8" 17~~ < i, }~ '0~3"
Afcenf.droitedMÉtoifes. i4.<). 6~o, 24.7,; 5 g~o, 5 ~8.1~o~ Rcd. au mënd. du Cap. t~. <8,o .9. 8,o 0,0 ~o. 20,3 Donc afc. dr. C au Cap. 4.9. ~.o~.to. ~,<). ~9.28,0 ~lo.~o.~ ~o. 1~,0
)t.).)..u.)~,<).j~.).tU,Uj~.l<0,~j~ Comme les paûages au mëndien n'otit été obfervés au Cap qu'au vertical de la lunette de mon Sextant, lequel eu: mobile