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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1757

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1757

Description : 1757.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3555q

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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leur ont mccéde, fè font attachés au octau délicat de cerîames t~rties, & principatement à l'examen de celles qui tendent d'une manière immédiate à !a producHon du fruit. Là.c'e~ !e nombre ou la ~brme des pé~es qu'on nous ofH'e pour fa difUncHon des ciafies ici, c'en: le nombre des étamines &des pi(ti{es d'un autre côte, on no~s rend attendes aux poiis.aux ~p!nes & aux ghndes des plantes.

.Les Phy~clens qui ont tente de dévoHer îe mechaniune de jfa ve~etatton, ontanatom!~ i'inténeur desp!anies: i!s ont cônndere ies*6bres corticaîes & ies fibres {igneufes, les divers -vaiueaux paue la sève, les h-achees,~ moë!!e, &c. ou bien ils ont fait des recherches ~ur !a quantité &: la qualité des fucs que ies -p!a!ttes attirent de la terre, ou qui s'échappent -d'ettes par la transpiration.

Mais un Ph~~tcien peut encore examiner celles qui Tont î'ob;et de i.Agricuiture, & l'un des principes de la richetië d'un Ëtat, dans une vûe toute di~erente. Il aura lieu d'y découvrir des choies neuves & aufS curieuses que celles dont les Botapi~es fe ïont occupés. U remarquera l'ordre dans ieque! & forment certaines parties {e temps cette formation, ou celui de leur développement plus on moins lenuhie. I! observera encore !e degré de cMeur, ainfi que le degré d'humidité, ou la faifon, qui conviennent à ces opérations primordiales de la Nature dans ies ptantes.; &. en qualité d'Agriculteur, il tirera quelquefois des applications utiles~ oc des conséquences inférc~ntes i[ pourra du moins rendre ï'aHon de certaines pratiques d'Agriculture oE {àinra ce qui peut y avoir besoin de réibrme, ou être fufceptibie de per~cHon des exemples donneront à ma penfée plus de netteté,

PerfonneYi'ïgnore que maturité du ieigïe e~ antérieure de trois femaines ou environ à celle du n'oment iemé dans le même terrein. La végétation de chacune de ces espèces de plantes garde aufR !e même ordre dans à marche je- veux dire que le feigle monte en tuyaux avant le Ë-oment, & Heurit aunt avant M. De !ài{ &ut Gpnc!urre,~ je ne me trompe, que le feigie a moins 'be&in de chaleur que ie 6'oment pouc tous les.divers mouvement