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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1757

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1757

Description : 1757.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3555q

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tinnuence des météores & ianaiiiëmënt qu'éprouvent les ten-es, qui.. d'abord avouent été le mieux ameublies, ne nous iaiuent guère i'efpoir d'obtenir cet avantage par la feute.prépamtion des terres antérieure aux femanfes,"<Sc nous.forceront tou;ôur~ de recourir à des labours ïub~quens pour une'végéfation plus foi-te que les labours ordinaires ne font capables de fa procurer. Les améliorations que peut recevoir l'agriculture, conndérée du côté de la pratique, fe rapportent à trois chefs priiicfpaux. Le premier, con~eroit àmiëux-préparer les terres, par voie.desîaboursÂdes~meubti~mens.

Le ïecond, à mieux amanderfes tenons, îbit par les cimiers, foit par la marne, ou d'autres matières qui tiennent de fes propriétés.

Le troinème, conH~erok dans l'emploi du terrem pour les productions qui lui conviejinent'ie mieux, ou qui &nt d'une affez, grande confommation, pour que îe débit en foit a.vaiîtageux. Outre ces trois chefs d'amélioration, qui doivent être regardés comme fa bafe d'une exceHente culture, i{ y €n a deux autres qui méritent notre attention. L'un connus à opprimer les obnacles'; qui .peuvent nuire à la végétation des p!antes utiles tel eft, par exemple, le ~om de pj-evenir ia nai~ahce des mauvaises herbes ànnudies, d'extirper abÏoiument ce~ës qui font vivacës, de détourner les eaux Gagnantes que les trop grandes pfuies occauonnent, de n'employer dsRs ies iëmai~ du fe:g!equ'un;gmn pur c<.exempr de tout mélangea L'autre chef tend-euëntietleme~tt âi'éco~omie~e la iemence & aux préparations qu'etie exige contre des accidens .jfuneaes ior~qu'ii s'agit du n-omënt.. Je reviens au premier chef d'améfiomtion qui dépend 'de~ labours. Les terres ne; pourréientctre mieux ~prep~récs'pa~

pette voie'euëntieHe qu'autant qu'on ~ugmenteroit {e'nombrë

~et:re 'vo~e' e. fièJ'Itie, Ife q,~autaht'9t{on ~lIgli1enrero, ,it, fÇ'llQ,trlbre.

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li y .a p~us à deurer, pour ce qui eft des. deux premiers moyens, -~uede fadiité pour l'exécution. Quant a-Ïa per~iou

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