Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 232 à 232 sur 828

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1757

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1757

Description : 1757.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3555q

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 76%.


On eiï: étonne loriqu on prend ces précautions ôc quon écarte avec le plus grand (bin tous les rayons étrangers & les moindres reflets de voir jusqu'où va. la (enûbiiité de nos yeux "onaperçoit dans l'intennté de la lumière des dirrerences qui n'en fbnt'que lu cinquantième ou fbixandème partie ainn on a peut-fe propo~r dans les observations un certain degré d'exactitude, quoiqu'il (oit peut-être impofnble de porter jamais la précinon fi loin dans les réfuitats, tant à cau~ë des divers attentions qu'il faut avoir, que des obnacles phyf iques quifë présentent trop fou vent, & qu'on ne peut furmonter qu'enpartie. H m'a paru que la plus grande des dimcukés venort de la dirîérente~Gouieur des lumières qu'on mefure; cette dir~érence n'empêche pas de voir tres-dHundement qu'une des deux ef): plus vive que l'autre: on ~!t donc diminuer d'une manière graduée ceUe.dont l'ccbt l'emporte, & on réunH bien-tôt à h rendre fenfiblement d'une moindre intenûté que la féconde. Mais lorfqu'on croit- atteindre le terme où elles doivent être également vives, elles ne le font pas ou on ne peut pas s'en anurer, quoiquau de-ià une des deux lumières foit certainement plus forte que l'autre & qu'en deçà eHe le devienne viHMement moins< Tout ce que j'ai pu faire dans ce cas, qui R'eH que trop rréquent, c'a été d'observer les deux points où elles commencent à parôître alternativement plus vives & plus ~bibles, & de prendre uneefpèce de milieu.

Le grand ufage qu'on fait des miroirs de~métal dans pluueui's de nos infb-umens, ma déterminé à raire beaucoup d'expériences fui- la force de leur réflexion j'en ai auût fait un grand nombre fur la rénexion produite par la furface du vif-argent, par celle du cryua!, & par celle de l'eau. Si on ~I~bit rénécMr la lumière d'une bougie par un miroir, Se qu'on la comparât avec celle qu'on reçoit directement d'une autre bougie, on ne feroit jamais anez certain que les deux corps lumineux éclairent également, &- il y auroit bien d'autres petites dinérences qu'on courroit rifque de ne pas apercevoir. 11 ne feroit donc permis de. compter jCjr l'expérience qu'après qu'on 1 auroit répétée un grand nombre de 6)is mais on peut réuÛH' dans une mfmitc

S~