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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1752

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 1752

Description : 1752.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k35505

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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printemps prochain; ce qui ayant été exécuté, il fut ibrt furpris de trouver ies racines d'afperges mortes, couvertes de filets violets & de ces petites truffes qui caufent la mort du ia6'an.

J'ai dit dans mon Mémoire, que cette plante parafite attaquoit les racines de plufieurs efpèces de ptantes mais oferoit-on foupçonner qu'elle fe feroit conservée en terre pendant près d'un demi-itècie, que cette terre a été labourée tous les ans, &. ensemencée en plantes annuelles, qui, comme je l'ai dit dans mon Mémoire ne font point attaquées par cette plante parafite. Les vignerons prétendent qu'elle fe conferve pendant vingt ans mais qu'après ce temps elle périt & n'endommage plus ie (afran. L'observation que je viens de rapporter, ne s'accorde pas avec celle de nos payfans.

T /? o V F c~~

Le bétail n'a été attaqué d'aucune maladie contagieuse, mais on eft bien embarrafîé pour le nourrir pendant cet hiver la rareté des fourrages a engagé bien des payfans à vendre leurs vaches pour ne les point voir périr de faim dans leurs étables. Les fermiers ont auffi mené leurs troupeaux aux foires, mais n'ayant pû s'en défaire, même à vil prix ils font oMigés de les nourrir, comme nous l'avons dit, avec de l'avoine, ce qui augmente le prix de ce grain.

Il y a des fermiers qui ont ôté les béliers de leurs troupeaux, pour n'avoir point d'agneaux, parce que les brebis qui font pleines mangent le double des autres.

G R.

II n'y a point eu de perdrix, les nids ayant été inondés par les pluies cette même raison a fait qu'il y a eu peu de cailles. On a eu un peu de lièvres & beaucoup d'alouettes 7~vj'jEC'y~j'.

H n'y a point eu de chenilles, excepté celle du chou, qui a été auffi abondante que.l'année dernière. li y a eu beaucoup