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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1752

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1752

Description : 1752.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k35505

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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piufpart, font couverts d huîtres, non fomiesians doute: SaintJofeph eft une côte plate d'un fable ûériie, le tort eft bâti dans le milieu de ce fable, qui eft fi mobile qu'on y enfonce aliment le canai de Sainte-Rofë eft formé par fine qui porte le nom de cette Sainte, & qui a toute cette longueur,. mais qui eft ~brt étroite & qui paroit toute couverte de fable le terrein y efi presque aum fabionneux qu'à SaintMarc, mais pour peu qu'on y creufe on trouve de l'eau le terroir de Penfacoie ne paroît pas meilleur; la côte depuis le Biloxi jusqu'au iac Pontchartrain.ie Biloxi même, ne font que du fable.

Lorsque j'ai cherché fur une carte du Canada ou ptuftôt de' la Louifiane, car ces endroits font de cette partie de la nouvetie France, à maûùrer de la poUtion de ces endroits, j'ai été afrez (urpris de voir qu'ils étoient tous peu éteignes de ia côte du golfe du Mexique je t'ai encore plus été iorfque j'ai reconnu que les pierres calcaires, la marne & les pierres qui renferment les poulettes dont j'ai parlé au commencement de ce Mémoire, viennent de lieux anëz près de Québec, qui pourroit être une des bornes où le terrein à pierres calcaires cefferoit j'ai penfé dès-tors qu'il pourroit bien fe faire que le golfe du Mexique rempiiHe maintenant ce cut-de-fac dont j'ai parlé plus haut, qu'il n'y en ait du moins que très peu de découvert, & que cette étendue découverte fur laquelle on a quetques oblèrvations pourroit comprendre Montréal, qui, outre la marne dont j'ai parié, donne auffi des pyrites qui fe trouvent fur les bords des rivières. La ville desTrois-rivières.cétebrepar fon fer, fontabte ferrugineux & par fes fources minérales de la nature de celles de Forges en France i'Ange-gardien la Pointe-aux-trembles, une partie des environs du lac Champtain, peut-être un endroit qui eft quelques lieues au-detà du fort de la Mobile où l'on prétend avoir découvert une carrière qL!e je pen'erois être de pierres calcaires à la façon dont le Pere Charlevoix s'exprime, (ont encore renfermés dans cette étendue de lene;n. Si elle exitte, il faut que ia Pen~ivanie, la nouvelle York &