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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1752

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1752

Description : 1752.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k35505

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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par pointe dans la fuMance charnue de ce vifcère, comme il t'eût été dans une planche, & aum folidement arrêté; il ne put l'en dégager qu'au moyen du fcalpel. Ce clou étoit taitt par un monticule charnu, très-îain, qui s'étoit formé tout autour mais une portion anez. conndérabie de ce même clou s'élevoit au denus du monticule. Dans l'endroit que fon gros bout devoit toucher iorfque les deux faces oppofées de i'eftomac venoient à fe rapprocher jusqu'à un certain point, il y avoit un fecond monticule caiieu~, plus bas que le premier. Cette portion du dou ne përmettoit pas aux deux faces oppofées de l'eflomac de s'approcher jusqu'à s'appliquer l'une contre l'autre, & VaHifhieri a penfé en pouvoir conciurre qu'elles. n'étoient nuifement eh état de ~aire la fonction de meule fur les corps qui étoient entre elles.

Mon intention n'e~t pas d'examiner ac~ueitement la force de cette. objection, ni m~me de détailler plus au long les rairons que Vaiiimieri a rapporttes, tant contre ie broiement qu'en faveur de l'exigence & de la grande activité du di~~oivant; d'aitieurs la ~ructuie de i'eûomac de l'autruche étant très-din~renfe de celle des génërs proprement dits. cet eflomac ti'eft point de ceux qui entrent dans l'objet de ce premier Mémoire. Je pauë plus volontiers à faire remaiquer qu'il y a des expériences auxquelles on n'a pas fongé, aunt fimples que celles qui ont été tentées, qui peuvent nous apprendre fi ia digeftion opérée dans un gêner eft principalement l'ouvrage de la trituration, ou Ii eue eft celui d'un diuchant. Quelque force que les partifans de 1a piemière opinion \euiîient accorder à ce viïcère, il ne leur paroitra ni impombfë, ni même difficile d'y introduire un corps creux, percé par les deux bouts, dont la ngute ne puinë eue altérée fenftblement par ia prembn du géf!er, ou dont au moins la cavité pourra être conservée maigre les efforts qu'il fera contre ce corps; Us peuvent être impuiuans contre des boites c:e~~s& contre des cylindres creux de certaines matières & d'ure certaine épainëur. Si avant que de (ai'e avuter ces boutes ou ces cylindres a i'oiiëau,on les remplit de giains, ces g'ain~