je m'y fuis pris pour cette opération. J'ai fuppofé avec M. le Monnier, que la plus grande parallaxe poffible foit de 61 8", & j'ai cherché enfuite les valeurs t qui donnoient le ~M:WN/M de la parallaxe.
§. c~. Cette opération ne demande aucun calcul aunt pénible qu'on l'attendroit d'une queftion de cette nature, parce que la feule in~pec~ion de l'équation précédente apprend bien-tôt que fi l'on fait y == 6~ & 2t = o, tous les coëmciens des termes où n'entre point t s'ajoutent, excepté celui dù'terme o,opoo/p~ cof. (2t 2~ qui eu: beaucoup trop petit pour innuer d'une manière fenfible fur les valeurs de y & de qui donnent ie w~/?w/y/.
Les mêmes valeurs de & de outre l'avantage de joindre, à une très-petite équation près, toutes celles où ces deux démens entrent fans être meiés avec l'anomalie moyenne du Soleil, ont encore celui-ci, que les quatre derniers termes où entre fe trouvent de même figne, à un feul près, qui eft ie plus petit, en forte que comme tous ces termes font proportionnels à cof. îu~Hra de ~aire ==: o~, & partant, cof. Z == 1, pour avoir dans ie même ïens toutes les équations de ia parallaxe qui méritent quelque attention, ck pour être convaincu d'avoir choifi ie cas du MM~7/<M. Or, puifque l'expremon précédente, devenue d'abord ï ,o~ 6 0,001 o 8 i cof. par ia ~uppofition de y == 6~, === o, & enfuite t,o~86o~/ par cette de == 6~ doit repréfenter les 61' 8" données par les observations pour ce /7M~M< il s'enfuit que i'unité représentera 6' -4.o" en fuppofant que l'on conferve l'excentricité de
0,0350~.
S. ï o. D'où i'expremon précédente deviendra