Fig.i.
Au refle, il et): efïentiel de remarquer que ces erreurs, qui ne font pas par elles-mêmes extrêmement confidérables, feroient d'environ i ~"y plus petites, fi au lieu d'employer la parallaxe horizontale fous l'Equateur, j'eune comparé avec les tables celle qui répond à la latitude de Berlin, & de 20 fecondes auffi plus petites û j'euue pris la parallaxe fous le Pole. Après avoir ainfi appliqué à la Terre elliptique les obfer'vations. de la parallaxe, j'ai voulu confidérer aurfi la Terre dans l'hypothèfe qu'a adoptée M. Bouguer, fuivant laquelle les accroiuemens des degrés du méridien font comme les quatrièmes puifïances des finus des latitudes, fuppofant pour les trois degrés mefurés fous les latitudes de o~, 4.0~ <~o~y, 6/~3 toifes, ~/o/ 57422. Dans cette hypothèfe le dernier degré de latitude fous le Pole fe déduit des deux premiers en difant la quatrième puiflance du finus de la latitude, ~.o~ en: la quatrième puiuance du rayon, comme la différence des deux degrés, qui eil: 3 2 t toifes, eft à la différence du dernier degré au premier, o 6/ toifes qui étant ôtées du premier degré, donnent le dernier de, ~~2.0 toifes mais fi on le cherche de même par la comparaifon du premier degré, à celui qui répond à la latitude de 66~ y, on trouve ~o~. La différence de ces deux réfultats vient de ce que ce n'eu: pas exactement, mais ieulement à peu près la quatrième puinance en prenant un milieu, on peut donc le fuppofer ~7/12 toifes, auquel répond un rayon ofculateur de ~066~ toifes repréfentépar GM. Le rayon ofculateur ED qui répond au premier degré étant 32.~ yoy, la longueur totale de la développée DG,. ou de la ligne G N, en: de ~p4./ toifes. Pour avoir les dimenfions du méridien dans cette nouvelle hypothèfe, il faut prendre == j~; ainfi l'on aura l'élément de l'abfcine Z)~~j~< celui de l'ordonnée Ih fera ~j~ ~'i –j~ la première intégrale eft S la féconde fe trouvera par la même méthode que ci-deffus. en faifant i –j~ === ~< alors ï–~=~==~=4.~
r- ~!(1. --· ZZJ