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Titre : Dictionnaire universel des contemporains : contenant toutes les personnes notables de la France et des pays étrangers... : ouvrage rédigé et tenu à jour, avec le concours d'écrivains et de savants de tous les pays (Troisième édition entièrement refondue et considérablement augmentée) / par G. Vapereau

Auteur : Vapereau, Gustave (1819-1906). Auteur du texte

Éditeur : L. Hachette (Paris)

Date d'édition : 1865

Sujet : Célébrités

Sujet : Biographie -- 19e siècle

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb401968214

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (X-1862 p.) ; 26 cm

Format : Nombre total de vues : 1876

Description : Dictionnaires

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k34496h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 23/09/2008

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vingt-cinq ans, comme professeur d'équitation, comme écuyer du Cirque et comme inventeur d'une méthode qu'il a développée dans plusieurs ouvrages. Nous citerons Dictionnaire d'équitation (1833, in 8. 3* édit., 1859); Dialogues sur l'équitation (1834, in 8), avec M. Pellier; Passetemps équestres (1840 in-8); Réponse à des obsertalions de M. d'Aure (1842); Méthode d'équitalion basée sur de nouveaux principes (1842, in-8, 11* édit., 1859); tous ces ouvrages ont été réunis, en 1854 et 1859, en un volume intitulé OEuvres complètes (gr. in-8).

BAUCIIERY (Francis-Roland), littérateur français, né à Paris, le 18 septembre 1798, s'est fait connaître dans les lettres par quelques poésies romantiques, deux ou trois drames, entre autres celui de Beaumarchais (1846), avec Louis Cordiez, et des romans écrits avec une certaine verve Didier, ou h Borgne et le Bossu (1836, 2 vol.); un Héritage de famille (1837, 2 vol.); Mémoires d'un homme du peuple (1838, 2 volumes), etc.

BAUDE (Jean-Jacques, baron), homme politique français, membre de l'Institut, né en 1792, à Valence (Drômei, fils d'un préfet de l'Empire, entra dès l'âge de vingt et un.ans dans l'administration, devint sous-préfet de Confolens (1813), puis de Roanne (1814) et de Saint-Êtienne (1815). 11 avait reconnu Louis XV1I1 à ia première Restauration mais, au retour de Napoléon, il se mit a la tête des gardes nationales pour s'opposer à la marche du duc d'Angoulême sur Lyon. Après Waterloo, il donna sa démission et publia une brochure politique intitulée le Lundi gras et le mercredi des cendres (1817), qui le fit condamner par la Cour royale de Grenoble. Il s'occupa ensuite d'économie et de travaux publics, et fit imprimer, entre autres mémoires, un écrit remarquable sur la Navigation de la Loire au-dessus de Briare (1826).

Vers la fin du règne de Charles X, M. Baude collabora activement au Temps et signa le 26 juillet 1830, la protestation des journalistes contre les ordonnances. Secrétaire de la commission municipale de l'hôtel de ville, il fut successivement, dans l'espace d'un mois, préfet de la Manche, directeur général des ponts et chaussées et soussecrétaire d'État au ministère de l'intérieur. Nommé préfet de police en remplacement de M. Treilhard (décembre 1830), il ne put prévenir la cérémonie carliste qui eut lieu, le 14 février suivant, à Saint-Germain l'Auxerrois, ni réprimer les troubles populaires qui se traduisirent par la dévastion de l'archevêché, de la maison des jésuites, etc. Destitué par M. d'Argout, il se renferma dans ses travaux de la Chambre des Députés, puis du Conseil d'Etat, dont il fit partie pendant tout le règne de Louis-Philippe. 11 combattit la politique de Casimir Périer. Dévoué au ministère du 29 octobre, M. Baude est rentré dans la vie privée en 1848. Il a été promu officier de la Légion d'honneur depuis le 4 mai 1844. Le 27 décembre 1856, il a été élu membre libre de l'Académie des sciences morales et politiques en remplacement de M. Benoiston de Château-Neuf et, en avril 1859, est devenu titulaire de la section de politique et d'administration. II est mort le 7 février 1862.

On a encore de lui l'Algérie (1841, 2 vol, in-8), ouvrage qu'il a publié à la suite d'un voyage dans cette colonie en qualité de membre de la Commission royale; les Côtes de la Hanche, Cherbourg (1859, in-8), extrait de la Revue des DeuxMondes, dont M. Baude était un des collaborateurs. Aux mémoires cités plus haut on peut ajouter les

suivants Sur les cd/es de France de l'Océan et de r la Méditerranée; Sur l'empoissonnement des eaux douces; Sur l'isthme de Sue; et son percement; Sur la marine de l'Autriche; Sur la puissance r militaire de l'Autriche en Italie.

BAUDE (Louis), ingénieur français, né le 17 octobre 1804, fut admis, en 1822, à f Ecole polytechnique, entra dans l'administration des ponts et chaussées et devint. en 1847, ingénieur en chef s de première classe, puis, en 1857, inspecteur général. Il est attaché au service de plusieurs chemins de fer, celui de Rennes entre autres où il est chargé de la première section. Il a été t promu officier de la Légion d'honneur le 2 mai s 1849. Son fils, M. Elphège BAUDE, né enjuils let 1826, fait aussi partie du corps des ponts e chaussées.

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BAUDELAIRE (Charles-Pierre), littérateur fran- çais né à Paris, en avril 1821, débuta en 1845 par des critiques d'art et des comptes rendus de salon. Il entreprit la traduction des OEuvres d'Edgar Poé, dont il a publié les Histoires extraordinarres, les Nouvelles histoires extraordinaires et les Aventures d'Arthur Gordon Pym (1856-58, 3 vol. in-18). Mais ce qui a donné le plus de retentissement à son nom, c'est un volume de poés sies intitulé les Fleurs du mai (1857, in-8), 1 recueil dont six pièces ont été condamnées en août 1857, et dont l'auteur a annoncé une noui velle édition, avec des poëmes inédits destinés à i remplacer les passages supprimés elle a paru en s 1861 (in-18, avec portrait). Il a encore donné, e en 1859 Théophile Gautier, notice littéraire e (in- 12).

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BAUDELOCQUE ( Louis -Auguste ), médecin français, né vers la fin du dernier siècle, est le neveu du célèbre professeur de ce nom, mort en s 1810. Après avoir étudié à la Faculté de Paris, il fut reçu docteur en 1823, se livra exclusivement la pratique des accouchements et s'occupa surtout d'en simplifier le manuel opératoire. On lui doit l'invention d'un forceps brise-tête ou céphalotribe, pour lequel 1 Académie des sciences lui a décerné un de ses prix, en 1833. On n'a de lui que des brochures et mémoires de la Compression de l'aorte ventrale (1835) comme moyen d'arrêter les hémorrhagies utérines; Élytrotomie, ou section du vagin (1844), etc.

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r BAUDELOT (Joseph-Alphonse), magistrat français, ancien représentant, député, né à Hirson r (Aisne), vers 1804, fit son droit à Paris et entra s dans la magistrature en 1830. D'abord procureur du roi, puis président au tribunal de Vervins, il fut. en 1848, élu représentant à la Constituante. le troisième sur quatorze, par 115339 suffrages. vota, avec la gauche, dans la question du banî nissementdela famille d'Orléans, mais dans toutes les autres questions il suivit la politique de la r droite. Écarté, à cause de ses fonctions judiciaires de l'Assemblée législative, Il revint siéger î à Vervins; mais, ayant pris sa retraite en 1858, il il est rentré au Corps législatif pour la 3" circonf scription de l'Aisne. 11 a été décoré de la Légion d'honneur le 4 mai 1845.

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BAUDEMENT (Emile), naturaliste français, né à Paris, en 1810, s'occupa spécialement de s questions d'agriculture et de zoologie et obtint en 1858, a la suite d'un concours, une chaire à l'institut agronomique de Versailles. Lorsque cet établissement fut supprimé, il fut chargé, au Conservatoire des arts et métiers, d'un cours de i zoologie agricole qui fut spécialement créé pour