de la température variable qui satisfasse à l'équation différentielle du mouvement de la chaleur et à toutes les conditions relatives aux extrémités, et qui pour un temps donné coïncide, avec l'état du système, on est assuré que l'expression dè v est l'intégrale cherchée. Il ne peut y avoir aucune autre intégrale réellement différente de celle-là, quel que puisse être d'ailleurs le nombre des fonctions arbitraires. Il suffira donc de prouver que la formule qui donne l'expression Vl satisfait à l'équation différentielle et aux conditions des extrémités, et que de plus en donnant au temps sa première valeur zéro, la température Vo représente le système des t~mpérâti~re's initiales.
Or l'équation différentielle du mouvement linéaire de la chaleur est ~t- c~D ~xa, et sion écrit au lieu de t, on a
d v 2
dt=dxz. Il fâut donc considérer l'équation 'd'cI" 'Il
-,T = Il faut donc considérer l'équation a différentielles
partielles très-simple d v `~2 v On reconnaîtra, comme il
p · p r~c-r~2.
suit, que l'expression de Vt satisfait à cette dernière équation, En effet, on conclut de l'équation (1)