d'après cela, les équations précédentes deviennent
et elles expriment évidemment que les sommes des moments de toutes les forces appliquées à la verge sont égales à zéro, ces moments étant pris par rapport aux axes même des y et des z, c'est-à-dire par rapport à deux droites rectangulaires, menées par l'extrémité de l'axe de la verge qui répond à x=o. (/46) Les équations (14) et (15) convieranent à l'équilibre et au mouvement de la verge; mais dans le cas du mouvement il y faut faire Xe=
X y da ui
t2
en supposant, comme plus haut (n04I), qu'aucune force donnée n'agît sur les points de la verge, et y supprimer les termes dépendants de H, H'; G, G', si cette supposition s'étend à ses deux extrémités. En vertu des éqúations (II) et (13), nous aurons::
quantités qu'on pourra négliger dans les formules (14) et (15), à cause que le coefficient ba reÍlferme le facteur E 2; par conséquent ces formule:; ne contiendront plus que les termes clépeu;lants des différéntielles secondes et troisièmes de y et z par rapport à ,r.