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Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44652

Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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mais celles que l'auteur rapporte ont du moins un degré suffisant d'approximation pour les conséquences générales. Par exemple, il rassemble les documents propres à faire connaître la quantité périodique des bois que la navigation commerciale et la marine militaire emploient à la construction des vaisseaux dans tous les états européens, et il donne ainsi une juste idée de l'étendue des forêts dont les usages maritimes nécessitent l'exploitation. Ces rapprochements sont très-utiles ils prouvent que la perte continuelle des bois de construction destinés à la marine peut changer les relations politiques de plusieurs états et prépare des avantages immenses aux seules nations qui pourront disposer, soit par la possession soit par le commerce, de vastes forêts dans les contrées plus récemment découvertes. Les effets généraux de la disparition des bois naturels ont été remarqués et pr évus depuis très-long-temps. Tout le monde connaît à ce sujet l'opinion d'un grand ministre, dont les sciences et les beauxarts honorent la mémoire, de Colbert, qui avait consacré sa vie à l'étude de toutes les sources de la prospérité publique. L'Académie de Bruxelles a donné uri nouveau témoignage de son zèle éclairé pour les progrès des connaissances utiles en proposant cette importante question elle ne ponvait choisir un objet plus académique et plus digne des recherches des physiciens et des méditations des hommes d'état.

Le Mémoire qu'elle a couronné traite cette question so us les rapports les plus étendus l'auteur a mis dans son jour l'utilité des grandes plantations, la nécessité de mettre un terme à la destruction des forêts; et il prouve que les dispositions administratives qui auraient cet objet, doivent être