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Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44652

Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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dernier, Jacques Bernouilli eb a donné la solution dans un Mémoire qui fait par tie de ceux de notre ancienne Académie. IL s'appuie sur un principe, ailopté ensuite par tous les géomètres qui ont traité la même question. Jacques Bernouilli suppose que dans une lame élastique en équilibre, le moment de la force qui tend à Iramener en ligne droite deux éléments consécutifs, est proportionnel, en chaque point de la courbe, à l'angle de contingence, ou en raison inverse du rayon de courbure. Pour se rendre raison de son hypothèse, il faut considérer, avec ce grand géomètre, les diftërents filets d'une lame pliée, et avoir égard aux contractions des uns et aux dilatations des autres;; ces petites variaticns de longueur donuent effectivement lieu à des forces longitudinales qui leur sont proportionnelles" dont la résultante est nulle, si l'extension moyenne de la lame l'est aussi, mais dont le moment total n'est pas égal à zéro: on trouve sa valeur proportiounelle à l'angle de deux éléments consécutifs de la courbe, en admettant toute-fois comme une donnée de l'expérience, qu'une droite tracée suivant l'épaisseur de la lame, et qui était primitivement normale à ses faces demeure encore perpendiculaire à sa courbure., après que la lame a été pliée. Par cette décomposition de la lame en filets longitudinaux on trouve aussi que temoilient de sa force élastique est proportionnel au cube de l'épaisseur, toutes choses d'ailleurs égales. Après les questions relatives à l'équilibre des cordes et des lames élastiques, sont venues naturellement celles qui concernent leur mouvement, et particulièrement leurs petites vibrations, d'où dépendent les différents sons qu'elles font entendre. Ce fut Dalembert qui résolut le premier, d'une manière générale, le problème des cordes vib~antes, dont