nalyse que des traces de potasse et d'acide fluorique, puisqu'il n'y a qu'un millième de la première substance, et seu!ement cinq dix millièmes de la seconde. Peut-être même ces matières sont-elles encore, dans l'amphibole atialysé, en plus petite quantité que nous ne le voyons ici; en effet, il suffit d'admettre dans la discussion un peu de grenat magnésien, ce qui pourrait fort bien être, pour que la quantité de mica se trouve bientôt réduite de plus de moitié.
On doit reconnaitre, par ces deux exemples, qui'il est possiblemême d'éclaircir par le calcul des analyses dans lesquelles il y a quelques éléments indéterminé¡:¡, pourvu qu'on ait les renseignements nécessaires sur la nature des substances associées à celle qu'on a particulièrement à examiner.