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Notice complète:

Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44652

Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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différences; elles tiennent aux décimales qui ont été négligées en établissant la composition numérique des diverse suhstances d'après les formules atomiques. Ces décimales négligées ne sont rien pot:ti,- chaque substance en particulier, mais les différences se compliquent dans la série des calculs qu'on est ohfigé de faire, et finissent par' être très-sensibles. Pour les éviter il faut recai~~uier les compositions des diverses espèces en prenant quelques décimales de plus; par ce moyen, on parvient bientôt à diminuer considérablement les erreurs, et à les faire rentrer dans la limite de celles qu'on est susceptible de faire dans le cours des opérations chimiques et qu'on peut par conséquent négliger.

Ce sont les erreurs qu'on observe ici, qui font le principal inconvénient de la méthode où l'on part des nombres mêmes qui ont été fournis par l'analyse. La nécessité de calculer les compositions numériques des diverses substances que l'on suppose être mélangées, la rend infiniment plus longue que l'autre. Si l'on jci:int -li cela cet autre inconvénient qu'on ne découvre qu'après avoir fini tous les calculs, si la suppositiori que l'on a faite est vraie ou fausse, on jugera qu'il vaut toujours mieux partir des quantités d'oxigène, ou des nombres atomiques, qui correspordent aux diverses quantités qu'on a trouvées par l'analyse.

Nous prendrons encore quelques exemples pour bien faire connaître la méthode dans tous ces détails; mais nous avons assez vu combien le calcul, par les quantités d'oxigène, est plus avantageux que l'autre, pour le suivre maintenant sans revenir sur celui-c;, qui est encore plus compliqué et plus incertain dans les analyses que nous allons discuter.