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Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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( 58) Si les circonstances ne permettaient pas de faire- à la navigation cet emploi du volume d'eau économisé, il est évident qu'il resterait disponible pour tout autre usage, lequel deviendrait la source d'un revenu quelconque.

Admettant, par exemple, que cette économie journalière de 3,246 mètres cubes d'eau devint l'objet de concessions particulières à raison d'une redevance annuelle de 5o francs par mètre cube, prix des concessions déja faites des eaux du bassin de la Villette, dans les différents quartiers de Paris, on en obtiendrait un revenu de 162,300 fr., dont le capital équivaut à plus de trois millions. Or, pour se mettre à même d'obtenir ce revenu, il suffirait, comme nous l'avons démontré, d'opérer sur la chute des écluses une réduction qui, en tenant compte des chances éventuelles de la pratique, n'occasionnerait jamais qu'une très-légère augmentation de dépenses, eu égard à ce capital.

(59) Terminons ce Mémoire par le résumé succinct des propositions qu'il contient.

L'ouverture d'un canal s'opère toujours par desfouillesetdes mouvements de terre plus ou moins considérables, soitqu'on en établisse le lit dans une tranchée à une certaine profondeur au-dessous du terrain naturel, soit qu'on l'établisse audessus de ce terrain sur des levées factices plus ou moins hautes. Ces déblais et ces remblais, ainsi que leurs transports à des distances déterminées, sont désignés généralement sous le nom de terrassements.

Les ponts, les aquéducs, les écluses, et généralement toutes les constructions de maçonnerie ou de charpente indispensables à l'établissement d'un canal navigable, sont désignés ,sous le nom d'ouvrages d'art.

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