Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 435 à 435 sur 885

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44652

Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 88%.


cas où le bief supérieur restant p1é'i~; ô1Ÿ ` séi~i~ obligê;'de mettre le bief inférieur à sec. Des circonstances accidentelles pell¥ellt amener ce cas, le rendrê même plus ou moins fréquent c' estdonc dans cette hypothèseque l'épaisseur moyenne des portes doit être déterminée, car il n'y a aucune distinction à faire entre celle d'amont et celle d'aval puisque par la suppression du mur de chute, elles sont rendues d'une égalité parfaite, et que les efforts, auxquelsellespeuvent être exposées, sont absolument les mêmes.

(24) Il faut considérer la porte dont nous cherchons l'épaisseur comme formée de pièces horizontales soutenues, à leurs extrémités, contre deux appuis ou feuillures e et f fib'. 2]. Ainsi elle se- confond l'a avec un barrage à poutrelles, qui serait établi entre le bief supérieur et le sas. Il est évident qu'en la supposant fermée, et en faisant abstraction de la mobilité qui doit lui être donnée par des moyens convenables, elle se réduit, en effet, à un semblable barrage. Il nous serait facile, au surplus, si ce n'était pas nous écarter de l'objet de ce Mémoire, de montrer ici comment un pareil système d'éléments horizontaux peut être rendu mobile sans rien perdre de la solidité de son assemblage.

Rappelons-nous mainte~ant que, par les principes d'c statique, l'effort qui tend rompre en son milieu, suivant un plan vertical, la porte d'écluse qui s'appuie sur ses deux feuillures e et, a pour expression, en nommant 7r' la pesanteur spécifique de l'eau

16- 1, ra+x;

On a d'ailleurs, par les théorèmes connus sur la résistance des solides, pour l'expression de la résistance de la porte 23.