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Notice complète:

Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 44652

Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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celui qu'on tire de l'observation des quantités d'eau élevée par les pompes, et cela tient à un fait remarquable qui doit exciter toute l'attention des constructeurs de machines à pompes. Les produits de ces machines n'augmentent pas indéfiniment avec les vitesses imprimées aux pistons. Lorsque ces vitesses sont poussées au -delà de certaines limites, les volumes d'eau élevée diminuent au lieu d'augmenter l'existence de ce maximum, indiqué par la théorie, a été bien manifeste dans les expériences de M. de Prony. Pendant la durée d'une partie de ces expériences les chauffeurs avaient de fréquentes dispositions à pousser le feu; ils ont même, cet égard, commis des imprudences; mais lorsque le nombre des tours du volant en une minute excédait seize ou dix-sept, la jauge placée au haut de la tour indiquait une diminution du produit. Une partie de la force de la machine était donc dépensée sans concourir à l'élévation de l'eau. L'auteur a voulu connaître cet excédant de force, et c'est pour parvenir à ce but qu'il a imaginé l'appareil d'épreuve, décrit à la suite de son rapport. Il a remarqué, lorsque cet appareil d'épreuve s'est trouvé appliqué à la machine, que les chauffeurs, auparavant si enclins à augmenter la tension de la vapeur, modéraient leur feu, selon toute apparence, d'après des ordres particulier5 qu'ils avaient reçus, de telle sorte que la tension moyenne a été réduite de 3 ,o atmosphères à 2 et la durée de chaque course de piston aumentée, de 1",875 à l", 975. Calculant sur ces nouvelles données l'effet mécanique évalué, soit à priori par les règles pratiques ordinaires, soit d'après les expériences faites avec l'appareil d'épreuve, on arrive à deux résultats qui ne diffèrent entre eux que de la dixième ou onzième partie du réI c~25. ~ÏLSLOtI'e. E