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Notice complète:

Titre : Mémoires de l'Académie des sciences de l'Institut de France

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Imprimerie royale (Paris)

Éditeur : Firmin-DidotFirmin-Didot (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1829

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343783130/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 1829

Description : 1829 (T8).

Description : Collection numérique : Yroise, bibliothèque numérique de Brest

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k3223j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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nentes sénateur en 1799; président 4\1 ,s~t,~ i 8o i gra~dcharn:~lif:r de. la Lêgion~d'Honneur;n J803;_ti~~j~eAe.la sénatorerie de Paris en 1804; ministre d'É~t la même année et rien ne prouve mieux à quel point Je gouvernement aY.4i.t été bien inspiré, que ce qui fut avoué par plusieurs des émigrés rentrés à cette époque c'est qu'à la vue du nom de Lacépède sur la liste du sénat, ils. s'étaient crus rassurés contre le retour des violences et des Crimes.

était aussi dans cette persuasion qu'il acceptait~ces hon.

neurs, et sans doute il ne prévoyait alors ni les évé

sans exemple qui succédèrent, ni la part qu'il se vit obligé d'y prendre. On s'en souvient trop pour que.nous ayons besoin d'en parler en détail mais nous' ne croyons pas avoir non plus besoin de l'en justifier. Déja l'on n'est pas soi-même quand on parle au nom d'un corps qui vous dicte les senti.. ments que vous devez exprimer et les termes dont vous devez vous servir et lorsque ce corps n'est libre dans le choix ni des uns ni des autres, tout vestige de personnalité a' disparu. Mais ceux qui, en de telles circonstances, ont. eu le bonheur de conserver 'leur obscurité, devraient penser qu'il y a quelque chose d'injuste à reprocher à l'organe d'une compagnie les paroles et les actes.qúe la e~orrtpageiè lui impose et peut-être même à vouloir qu'une compagne ait con. servé quelque li~erté devant celui qui n'en laissait à aucun souverain. Si elle répétait ces paroles de l'Evangile Que celui qui est sans péché jette lr~, première pierre, quels seraient, dans l'Europe continentale, les princes ou les hommes en pouvoir qui oseraient se lever?

Toutefois encore, dans ces discours obligés, avec quelle ériergie l'amour de la paix, le besoin de la paix se 1Do!1t..e~t I c~2J~. Histoire. G g