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Notice complète:

Titre : Bulletin de la Société de linguistique de Paris

Auteur : Société de linguistique de Paris. Auteur du texte

Éditeur : Klincksieck (Paris)

Éditeur : Edouard ChampionEdouard Champion (Paris)

Éditeur : Éd. PeetersÉd. Peeters (Paris)

Date d'édition : 1912

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343492767

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343492767/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 12668

Description : 1912

Description : 1912 (T18,N60)-1913 (T18,N61).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k321590

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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rant d'une lecture rapide'. P. 56 « a~M/~ omelette.Métathèsed'[<(] allumette ? a Qu'est-ce que ce dernier mot? l! fallait au moins renvoyer à Meyer-Lubke, Roman. Etym. t~o~/er~Mc~j lamella 4866. Id. « a/a: cassecou. Identique à archer)). Une explication sur l'emploi d' « archer M serait au moins utile. -P. 58. L'articlesur M~y!, mettre en train quelque chose, envoyer quelqu'un promener, est obscur quel est lerapport des 2 verbes a. fr. <w~ .f'e/M~o~'? Et pourquoi le v. fr. burir, s'élancer ~> A~r (qu'il faudrait écrire bourrir)? Id. A propos de a~MSM. puisard où l'eau va se perdre, M. J. cite le v. fr. doit « </MC<M), puis explique le mot comme dérivé de en -t- dois <( <~?<ce. II était donc inutile de parler de doit. P. 59. L'explication étymologique de ~o~M?*t, s'embarrasser les jambes dans quelque obstacle, est mal présentée « cf. s'empêtrer, v. fr. empasturer <)a:x~<? ». Empasturer, comme le mot patois, sont des composés de pasture, dont le sens d'entrave est encore attesté par le Dict. général Dar~M~fo;<s/c/e~-7%o?7MM s. v. /~M~v. P. 63 6a(<~ (f.), bouton aux lèvres; il fallait rapprocher le français bouquet, DM/. ~<'M. bouquet 2. P. 71 « 6'ë~: [=] chaise. » Pourquoi ne pas citer plus exactement chaire ? P. 86. Parmi les formes du v. être. M. J. ajoute au participe cuM un point d'exclamation. Le type « je suis eu » est pourtant très répandu dans les parlers franc-comtois; cf. Meyer-Lubke, Gram/Ma~ d. liom. Sur. Il § ~44. P. 89. A propos de /gMa, fainéant, M. J. dit d'une façon bizarre que le mot est « emprunté du français prononcé /c/ïa et dérivé de feindre ». Une expression aussi peu claire se trouve s. v° /<ë?\, feindre, p. 93. M. J. a voulu sans doute dire que le patois a interprété le fr. fainéant comme si c'était le participe présent de feindre. P. 106. ~o (m.) le son, résidu de mouture: M. J. cite seulement l'hypothétique étymotogie *cy!Mcu~ de M. Jud, alors que l'origine germanique de ce mot est très probable, cf. Meyer-Lubke E. R. M~. 3891 <~M~. P. 108. o~J M. J. part à tort du sens de 1. Cf. la note de la page co.xxy.

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