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Titre : Bulletin de la Société de linguistique de Paris

Auteur : Société de linguistique de Paris. Auteur du texte

Éditeur : Klincksieck (Paris)

Éditeur : Edouard ChampionEdouard Champion (Paris)

Éditeur : Éd. PeetersÉd. Peeters (Paris)

Date d'édition : 1912

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343492767

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343492767/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 12668

Description : 1912

Description : 1912 (T18,N60)-1913 (T18,N61).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k321590

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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on n'aurait le droit d'en rien conclure pour -~<rto$, qui n'est pas superposable. En somme, dans les adjectifs en-tole grec a généralisé le type paroxyton, qui est l'un des types védiques, et qui se retrouve en germanique dans got. <7?~c:s en face du gr. jxStno~ la thèse de M. Hirt ne reçoit de là aucune confirmation, tandis qu'un mot comme M~o~, dont il n'est rien dit, constitue une redoutable difficulté. P. 276, il est fait état du pluriel ~ere de l'impératif en regard du singulier eXQï. Mais c'est méconnaître la situation toute spéciale de la personne du singulier de l'impératif d'ailleurs, on conçoit que l'impératif ~86-ce ait été influencé par l'indicatif-~XQeTs (sans augmentMete). Et l'on n'arrive pas à saisir ce que M. Hirt veut dire quand il invôque à l'appui de sa thèse ye~ou (ancien ye') en regard de Y~s?6e.

Avec des formules plus précises, certaines preuves apparentes s'évanouissent. Pour établir que des mots dissyllabiques admettent la variation de place du ton du type TroSct, ito36. M. Hirt s'appuie sur Txrpo~, Souper, etc. Il faut d'abord écarter n~po~ car dès l'instant que -Tep- apparaît au degré zéro, on ne voit pas pourquoi le ton aurait reculé sur Tcx plutôt que de frapper la finale, et TMi:p6$ ne prouve évidemment rien. Quant à Souper (etàyou~, et aussi à xu~oç, en face de xuM~), on y voit que la place du ton dans T:oSo~, O~poç, etc., ne tient pas à la forme monosyllabique du nominatif, mais à la forme monosyllabique du thème la règle de place du ton du type~cSfx, TcoSo~ s'applique donc aux thèmes monosyllabiques, tels que Sspf-, xu~ etc., tout comme à ~o§-, 6-~p-, etc., mais non pas pour cela à des mots dissyllabiques.

P. 292, M. Hirt avance, avec une hardiesse déconcertante, que le suffixe i.-e. *-tàt- de skr. MTM~, gr. 0X0~ repose sur la racine *tewa- et ne saurait être séparé de *M< Mais on a aussi remarqué que *-ta-t- est à *a-, ce que *-<M-~ est à *M-, et M. Brugmann a eu bien raison de dire (Grundr., IP, t, p. 483) qu'il n'y a pas le plus petit fait à l'appui de l'hypothèse admise ici par M. Hirt. Le sens de « force )) ne transparaît nulle part dans la formation. Mais, ici com me souvent, M. Hirt a surtout en vue de démontrer une