ment sur les procédés à employer pour aboutir à des résultats solides. Malheureusement, il n'est pas aisé aux chercheurs français de travailler à ces perfectionnements les recherches de cet ordre sont coûteuses, et nos laboratoires sont trop mal pourvus de ressources pour les poursuivre aisément. Le linguiste trouvera dans les fascicules parus de ~o.r plus de moyens pour réaliser des travaux que de résultats qu'il puisse dès maintenant utiliser. On souhaitera que la nouvelle revue prospère pour apporter les résultats des recherches entreprises. A. MEILLET.
A. MUSEHOLD. <4//y<'?7?e!MP ~4/~M~A' MM<~ ~CC~CM!~ des /MCM.!C~c~<'M Stimmorqans. Berlin (Springer), 1913, in-8, vn-t35 p. et 6 planches hors texte.
Ce petit volume, qui a été beaucoup loué par un aussi bon juge que M. Gutzmann, n'est pas un livre de linguistique. Mais ii convient de le signaler aux linguistes parce qu'ils y trouveront, avec des figures très nettes et avec de superbes photographies montrant l'action des cordes vocales dans la voix chantée, un exposé particulièrement clair des principes physiques et physiologiques de la phonation.
A. MEILLET.
J. PofROT. Recherches 6'pM<a/cs ~!<?' le ~'y?!6re des voyelles françaises. Hetsingfors, 1912, in-4, 95 p. et 1 ptunehe hors-texte, plus 3 pages d'Errata (Acta socie~/M ~C!CM/My;<'7! /<?n~ca~ XL)!, 2).
Bp~aye zur A~iM der Q?«!M< in den finnisch-
Myr!A'e/t5'/)~<7e~pM. Helsingfors, t912, in-8, 104 p. et 3 planches hors-texte (Afe~o~~ la Société finnoougrienne, XXX t).
M. Poirot, qui avait déjà publié des recherches appt'o-