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Notice complète:

Titre : L'Ami de la religion et du Roi : journal ecclésiastique, politique et littéraire

Éditeur : A. Le Clère (Paris)

Éditeur : Imp. Bailly, Divry et CieImp. Bailly, Divry et Cie (Paris)

Éditeur : De Soye et BouchetDe Soye et Bouchet (Paris)

Date d'édition : 1815

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32691240k

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32691240k/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 1815

Description : 1815 (T3,N53)- (T3,N78).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k31583q

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tm crSne d'avoir quitt'é'l'a'-France, et il leur ûtîsoit, d -y a vingt ans, un crim& d'y' être rentrés. II les .auront, à cette époque, condamnés à mort pA- 'cela seul qu'ils ~uroient été trouves en France, et aujourd'hui il les taxe de lâcheté parce qu'Us sont sortis. Il paroît décide -a !es'trbuver toujours coupables. -Je ne. sais s'il a été dit jamais quelque chose de plus -absurde que ce qu'ajoute M. Oa~-not QtM ceMA- yM! on~ .proHO~ceZ~ eo/Mna~o~ ~e LoKM, ~o/z~ comi~ o~ N~-oy!0~ce ce~e ~'K/z ma~d'e ~o~ on f~e~Mt Mais les médecins quI~yoHowcHt la coadaœnation d'un malade ne l'envoient pas a l~hafaud apparemment. Ht. prévoient sa mort, mais ils ne la lui donnent pas. M. CarHOtiouesur!enMt~OHOMC~.Lainatièi.-eéto:ta~e2! sraYe pour lui interdire un si ridicute moyen. 11 s appuie du meurtre de César, comme si l'on pouvoit comparer la mort d'un usurpateur a, celle du Roi légume. .Rome êtoit répubMque, et la France étoit monarchie. César étoit un ambitieux qui asservissoit son pays. .Louis XVt- a voit hérité des droits de ses aïeux, et te~ -noit paisiblement l~ceptre qu'ils lui avoient transmit -M. Cal-not- nous donne, une tiste de prince cruels et -Rétris par iMrs ?ice~: ~véMté it &ut aYOn- perdu le -sens ou s'être dépouiMé:de toute pudeur pour aller évoluer les ombres de Tibi-re, Néron ou ~ardanapale, quanA il est question de.LouigXyl.

Aux torts de ces misérables apologies, M. Carnot en joint d'autres; qui ne donnent pas une me.H!cure idée de son jugement. On savoit'qu'il avoit refusé long-temps de ployer sous Bonaparte, et on lui savoit gré du caractère qH'ilavoit montré en s'opposant au nouveau t~ qu'avoit pris cet ambitieux. Eh bien M. Carnot s'ôto aujourd'hui ce mérite.. 11 preud, on que)que sorte, la défense de ce .même homme dont il ayoit bravé autrefois la co!cre: 11 atténue~ ses torts, il le loued'aYoïc ~a~~o~~Hc~Mn~~ilse~aintdes mMM/<~re un pPM weoKSMMre~ ~K ~OM~er-~Men~ ~ro~Mû~. Il croit que la aatios sera. plus rigoureuse caverg.