Fy~A-B de ~MO/za~C!?' ~~M Z~OM~e~~MMM~ Me ~E7~e., pour servir de suite à jR~ence Blois (1).
QuBLT.E situation que celle où nous étions il y à un an? Est-il possible d'eu imagine!' une plus triste et plus effrayante? D'un côte une tyrannie sombre et farouche, de l'autre la désolation et la crainte, la France se remplissant de troupes étrangères, tous les habitans menacés d'être forcés de prendre les armes pour soutenir un gouvernement qu'ils abhorraient g des mesures violentes se succédant rapidement, l'usurpateur s'agitant en tout sens pour conjurer l'orage ~u~l avoit attiré sur sa tête, et s'apprêtant à faire une guerre d'extermination, et a nous entraîner tous dans sa chute, tels étoient les sinistres auspices sous lesquels s'ouvrit la présente année; et combien les trois premiers mois ajoutèrent aux dangers de notre situas. tion Des succès mêlés de revers, la dévastation d<~ hos campagnes, l'incendie de nos villes, des provQpaj.Ions insensées au meurtre et au pillage, des levées énormes, des impôts redoub'és, le mécontentement porté à l'extrême, le denil et l'effroi dan~ toutes les familles, voilà le snectacle que nous of.Ei'ions, quand la Providence daigna ennn prendre pitié de nous, et mit, par un grand coup, un terme à
fi) ht-8". prix, t fr. 5o c. et i fr. 80 c. franc de pj&rt. A Paris, chez Le Normant, rue de Seine, n°. 8; et au bureau du Journal.
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