OnUtdansIefeuiIlet&n {lu J<mf/MM< D&&a<.9 du i5 Octobre, « que rRisfoire ecciésiasfique l'apporte qt's saint Grégoire-Ie-Grand étoi.t~i pénétré d'admiratioft ? pour ~rrajan, qu'il osa demander à Dieu de îairs ? grâce a son aveugtement en faveur de ses vertus, e6 » que Dieu accorda le salut de rëmpei'eor aux prierez » du saint )).
Quoique ceux qui étudient rhis~oire de FEgIise n'ait!<?). poin.ë en vcnne).' les f~its dans des annonces d'opëra~ qae ceux qui suivent, ropera se inetteHL fort peu CM peuie de l'Histoire eceMsiastiqùej cependant puisqu'a l'occasion de i'opëM deTra~â~, on a cru devorctifr cette Histoire, on ne peut pas trouver mauvais qu'on. yelèfe rinexactttude qui a échappe à Fauteur de- cBt article.. Les écrivains eçciestastiques qui ont rapporté }a déJivrauc& de Trajan par l'intercession de saint Grégoire, on): eu soin de réfu.ter cette tabtQ, aussi coniran'e au dogme catholique, que donnée da preuves et d'autorités. Le premier qui l'ait adoptée et. répandue eo. Jta!ie, ou onrefusoit de la croire, est Jean DiaLcre, postérieur de ,troi~ sièctes à saint Grégoire. II dit ravoif .apprise.par la tradition des égnses d'Ang!eterre; comme M ce n'étolt'pas à Rome, témoin de ce prodige, qu'elle auroit du bien pLut&t se conserver.
Depius on démontre q~e~e saint Pape n~a jamais pu demander à Dieu le salut d'un prince, qui, quetqucs Yertus qu'il eût d'aiu&urs, étoiit mort dans l'j.dptatt'ie ft ~voit persécuté rEgttse; saint, Grégoire enseigne expFOit~ément, en plusieurs, endroits de ses écrits .que /a7?M~ Zet yMMe~cor~? ~e.DMM.~e.~aKfe c~M~ ~Ke Na~H~'cc (ï co~a/KMM aM.c ~<MR~ e~'ne//eN (i~ ce qui est u~ ppint de {bi.
L'auteur dei'artic!e dont n s'sgit.ae &'ost pas son-
<'ï) MMa). tib. xt,: Tt°. f! lib. Thty n<3&. Dia!. L tv, c. 4t.EpMt.lib.ftt~Ep.iS~