.de développer un plan, qui exige d'être murt avec beaucoup de ré~exion, et qui doit avoir été jugé par le gouvernement~ avant d'être soumis à une discussion publique. F.L.M.
NOUVELLES ECCLESIASTIQUES.
PAMS: Le samedi, 22 novembre, il a été cëlëbre dans )a chapelle des Tuileries une messe des morts pour le repo& de Famé de Mane-Lduîse-Jôsëphme de 'Savoie, reine de France, morte en Angleterre il y a quatre ans, et à pareH)e.ëpoque(t). LeEoi, à qui ~e.Qsvem<- dacette auguste et digne, épouse est, toujours cher, a assisté a cette messe, ainsi que MADAME et les princes. '–La veille, là sœur Marthe, de Besançon, avoit eu rhonueur d'être présentée au Roi. Cette fille charitable est célèbre en Franche-Comte par son dévouement pour les matheureux de toute espèce, les prisonniers, les pauvres, les mahtdes. Elle ponrvoyo!t leurs hesoina ,avec un zeie et une activité f~~hante. Les soldàts îa .rc-gardoiept .comme leur mèr~. Les-pi-isonmers espagnols ri.tH dut'e:nt-des.adoucissemens à leur s'dt't: Son ind'us~ trieuse charitë.savolt se mu))tpt!er et trouver des'res~sources inespérées. EHe n'avoitrien, et savoit subvenir aux besoin d'un grand, nombre d'hommes sou&'rans. MONSIEUR l'a voit vue à Besançon. Il a bien voulu là présenter lui-même au Hui. Elle a été fort ëmue e!~ voyanfS. M. Sire, lui a.-t-eUe dit, il y a ringt-ans que mes prières demandoient ce moment au clé!; maintenant je mourra! contente. S. M. lui a répondu avec !') bonté et sa grâce ordinaires mourez contente, sœur Marthe: mais auparavant, vivez long-temps heureuse. iLaso&ut' KJarthe a reçn, dit-on, des secours qui la mettront g même de continuer ses bienfaits.
(t) y~'f; ~o~ff /itimf'rj'