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Notice complète:

Titre : Le Magasin pittoresque / publié... sous la direction de M. Édouard Charton

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1854

Contributeur : Charton, Édouard (1807-1890). Directeur de publication

Contributeur : Desportes, François. Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 37695

Description : 1854

Description : 1854 (A22).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Description : Collection numérique : Thématique : bâtiment, urbanisme, architecture, arts

Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k314378

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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connaissance de l'antiquité, parle en ces termes du colosse de Rhodes

a Le plus admiré de tous les colosses fut celui du Soleil it Rhodes; il avait été fait par Charês de Lindos, élève de Lysippe, dont je viens de parler. Ce colosse avait 70 coudées. de hauteur. Cette statue fut renversée sur le sol par un tremblement de terre, cinquante-six ans après son érection, mais quoique renversée, c'est encore une merveille. Peu d'hommes peuvent embrasser son pouce; ses doigts sont plus grands que la plupart des statues.~ Ses membres disjoints paraissent de vastes cavernes on voit dedans des

siecie avant Jésus-Christ, auquel on attribue un petit Traité des sept merveilles du monde, dans lequel se trouve à son rang une description encore plus étendue et trèsemphatique du colosse de Rhodes, ne fait pas la moindre allusion à cet écartement prodigieux des jambes, et, comme nous le disions en 18j4,H il ajouteune particularité. qui exclut toute idée de cette folle supposition, puisqu'il parle de sa base de marbre bianc,Kdepass<5p~is ~j'an~es statues de la ville. Or une statue posée sur une base unique ne pouvait être postée,jam&e~pe, ~'<!m&e(Ma, à cheval sur la passe d'un port. Un autre argument indique dans notre premier article, est celui qu'on tire d'un passage de Lucius Ampellitts, qui, dans un autre petit Traité

pierres énormes, au moyen desquelles on l'avait pondérée. On dit qu'elle coûta 300 talents, somme que les Rhodiens avaient retirée des équipages de guerre abandonnés devant leur ville par Démétrms, lorsqu'il en leva !e siège, fatigué de sa longueur. e

On le voit, il n'est pas question de jambes écartées, et quiconque a lu Pline sait que cet auteur aimait à rapporter les circonstances merveilleuses; certes, il n'aurait pas oublié celle-ci, et puisqu'il n'en parle pas, on peut en conclure Hardiment qu'elle n'ajamais'existê. Philon de Byzance, mécanicien de la fin du troisième

Le CotosM de Rhodes )mag)Mtre. Dessm d'AchiMe Devenu

des sept merveilles du monde, s'exprime ainsi « A Rhodes est la statue colossale du Soleil, placée sur une colonne de marbre, avec quadrige, s Mais nous devons dire que le quadrige d'AmpetHus, n'étant pas mentionné par Pline, Strabon et Philon, nous paraît être de l'invention de cet auteur, assez peu estimé, et qui écrivit au cinquième siècle de notre ère. Cependant, toujours est-il qu'il est bien loin de dire que le colosse avait les jambes écartées car puisqu'il suppose un quadrige sur la colonne qui portait l'Apollon, et que peut-être il faille comprendre que selon lui l'Apollon était debout dans son char, on peut le compter parmi les autorités .contraires a l'invention de Vigenere. La /in à une aKh'ë Hf~'a!