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Notice complète:

Titre : Le Magasin pittoresque / publié... sous la direction de M. Édouard Charton

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1854

Contributeur : Charton, Édouard (1807-1890). Directeur de publication

Contributeur : Desportes, François. Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 37695

Description : 1854

Description : 1854 (A22).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Description : Collection numérique : Thématique : bâtiment, urbanisme, architecture, arts

Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k314378

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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(pratique des préceptes) et l'Agadah (morale et histoire), égatement dans le même idiome.

Ils sont en guerre avec les habitants des monts situés au midi de leur territoire, race insensée, dont l'humeur est triste et morose. Ces montagnards sont tous cavaliers; ils infestent les routes et ne ménagent personne ils ne vivent que de rapines. Ils sont très-vaillants; chacun d'eux peut vaincre cent ennemis. Ils adorent le feu et épousent leurs mères ou leurs soeurs. Ils ne sont point agriculteurs au moins ils ne moissonnent ni ne vendangent, et ils achètent tout à prix d'argent. Néanmoins ils ont une grande quantité de troupeaux, de chameaux, d'ânes, de domestiques des deux sexes, qu'ils ont pris dans leurs expéditions. Quant à la tribu de Siméon, elle est dans le pays des Khozars, sur le fleuve d'Itel (Volga); son roi s'appelle' Ëzéchiet, et elle est extrêmement nombreuse. Elle reçoit un tribut de vingt-cinq principautés et d'une partie des

Atropa m~M~, Linn. ( vut~irement Jt/M~:?~ La plante est réduite ici au cinquième de sa grandes n~reUe; /m«~M mu,, j s taneurcHefruitseparessontredmtsdemo~e.

telles que mouches, puces, poux, serpents et scorpions bref, rien de dangereux. Tout y est pur comme les agneaux, les bœufs et espèces analogues. Les brebis mettent bas ordinairement deux fois par an.

Ils sont très-religieux, très-versés dans les lois écrites et orales, dont renseignement se fait en hébreu. Ils ne connaissent pas d'autre langue que la langue sacrée, et ils ne parlent que de choses saintes. Ils observent avec plus de scrupule que les rabbins la manière d'égorger les animaux et de les dépecer suivant les régies prescrites par les sop/tnm(Ies scribes); car Moïse était très-scrupuleux quant à l'observance des paroles des scribes. A ce qu'ils croient, jamais les descendants de Moïse ne juraient par le nom du Seigneur sans que leurs âmes sortissent de leurs corps. Ces rejetons de Moïse, serviteurs du Seigneur, ont une très-longue existence, et vivent ordinairement cent ou cent vingt ans. Jamais ni fils ni filles ne meurent du vivant de leurs pères, mais tous parviennent à la troisième ou même

Ismaélites. Les Siméonistes parlent la langue hébraïque, lé khozarique et l'arabe, et se livrent à l'étude de la loi écrite et de la loi orale, tant dans la pratique que dans la théorie. Que le Saint (béni soit-il! ) les garde de tous adversaires et de tout triste accident!

COMMENT, AU DELA DE LA RIVIÈRE SABBATION, IL Y A LA POSTÉRITÉ DE NOISE, DITE LA TRIBU SAUVÉE. Il y a encore, au delà de la rivière Sabbation ou Sambation, une tribu juive ce sont les descendants de Moïse, notre pieux maître, le serviteur de Dieu. On les nomme la tribu sauvée, parce qu'elle abjura l'idolâtrie et s'attacha à la crainte de Dieu. Les enfants de Moïse habitent des maisons et des édifices magnifiques, ainsi que des tours qu'ils construisent eux-mêmes.

!t n'y a rien chez eux d'immonde, ni des oiseaux, ni d'autres animaux impurs. Ils n'ont pas de bêtes nuisibles,

à la quatrième génération en sorte qu'ils voient leurs enfants, leurs petits-enfants et leurs arrière-petits-enfants. Ils labourent et moissonnent eux-mêmes leurs champs, parce qu'ils n'ont ni esclaves ni domestiques beaucoup sont des magasiniers, et pourtant ils se dispensent de fermer leurs maisons la nuit, attendu qu'il n'y a parmi eux ni voleurs, ni hommes méchants, ni autres personnes capables de faire quelque mal. De plus, un enfant conduit des troupeaux à une distance de plusieurs jours de marche, sans craindre les voleurs ou les démons, les bêtes féroces ou quelque autre péril, parce que tous ces lévites sont saints et purs.

COMMENT LA RIVIÈRE SABBATION COULE PENDANT LES SIX JOURS DE LA SEMAINE, ET CESSE DE COULER LE JOUR DU SABBAT.

Cette rivière Sabbation (dans la Palestine septentrionale) est pleine de sable et de pierres les eaux entraînent dans