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Notice complète:

Titre : Le Magasin pittoresque / publié... sous la direction de M. Édouard Charton

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1854

Contributeur : Charton, Édouard (1807-1890). Directeur de publication

Contributeur : Desportes, François. Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32810629m/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 37695

Description : 1854

Description : 1854 (A22).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : administration publique, sciences humaines et sociales

Description : Collection numérique : Thématique : bâtiment, urbanisme, architecture, arts

Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k314378

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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siphon plongé dans l'auge de la pompe ('). L'ombrage étant d'une absolue nécessité, on avait ménagé câ et là des plantations de tilleuls et surtout de mûriers, qui ont l'avantage de produire des Mtsdontt'acidité sucrée ptaitbeaucoup aux votaiites. On avait évité avec soin le sureau dont l'odeur est repoussante, le lilas, le troëne et le frêne, qui attirent les cantharides, et l'if qui souvent peut devenir un poison. Une des voûtes de droite était toujours laissée libre pour servir d'abri aussi bien pendant les grandes chaleurs que pendant les mauvais temps. Enfin, une aire très-grande et bituminée est entretenue dans une grande propreté pour les heures. des repas, qui ont lieu habituellement le matin et le soir, à huit heures et de trois à quatre heures.

Nous avions remarqué, sous un massif, une petite clôture

bien prêférabte aux mues d'osier. » Notre hôtesse nous en fit voir une dont son mari a rapporté le modèle d'Angleterre nous en donnons le dessin. C'est une espèce de charpente de toiture qui repose directement sur te sol par sa base. On l'enlève et on la transporte a volonté en la prenant par la poignée. Elle est peu encombrante et laisse à la poule la facilité de sortir la tête et le cou, soit pour défendre ses petits, soit pour leur donner les graines qu'elle vient de casser, soit enfin pour les rappeler à elle dans un moment donné.

Tous les petits qui entourent cette mue anglaise sont d'un naturel saisissant; nous ne pouvons résister au désir d'en faire ressortir les défaits Sur la droite, on en voit deux qui sont repus et qui restent vers la mère où deux autres sont déjA deux autres, en dehors, sont accouflés pour faire leur digestion, tandis que, sur le premier plan, il en est trois qui convoitent le même grain. Enfin, sur la droite et à l'ar(') Voy. p. 2!

spéciale dont on ne nous avait pas expliqué l'usage « Ceci, nous dit M" X. .est un parc destiné a Féiéve de la jeune volaille. H est formé simplement par quatre claies à moutons dont la partie inférieure est garnie d'une double rangée de roulons, assez écartés pour que les petits poulets puissent entrer on sortir à volonté (on a oublié ce dernier détail dans la gravure). On enferme plusieurs mères à l'intérieur; par leur gloussement, elles retiennent toujours leurs petits dans les environs. Ceux-ci acquièrent beaucoup de force en courant ainsi, et on les tient à ce régime jusqu'à ce qu'ils soient assez forts pour qu'on puisse les laisser en liberté. Quand les poules refusent de vivre en bonne intelligence, et cela arrive quelquefois, on est obligé de les séparer. A cet effet, on se sert d'une cage en bois qui est

Parc à ~ves. Dessm de Charles Jacque.

nëre-ptan, est l'assiette pleine d'eau dans laquelle un jeune poulet est en train de boire, tandis qu'un autre lève le bec en l'airpourfaire couler la gotgëe qu'H vient d'y prendre. Pour quiconque a étudié avec un peu d'attention les habitudes et les gestes, pourrait-on dire, d'une jeune portée, il est impossible de ne pas reconnaître la nature prise sur le fait. Nous recommandons surtout le dernier, .au fond, à droite.

LàfermierenousconduisitensuiteversI&couYoir. C'estune pièce très-saine, exposée au midi, à côté du pou!ai!!er. Tout le tour des murs était garni de paniers bas, évasés, remplis de foin rompu et recouverts d'un peu de plume. Quelquesuns étaient en fonte, pour expérience; les autres contenaient tous un morceau de. fer destiné à soutirer -l'électricité dans les temps d'orage. Sans cette précaution, des couvées entières pourraient être tuccs par le fluide. Les vases en fonte dispensent de cette précaution; mais il paraît qu'ils ne sont pas indispensables et que le morceau de fer sumt.