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Titre : Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels
Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte
Éditeur : Bachelier (Paris)
Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)
Date d'édition : 1923-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 454219
Description : 01 juillet 1923
Description : 1923/07/01 (T177)-1923/12/31.
Description : Collection numérique : Originaux conservés aux archives de l'Académie des sciences
Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k3130n
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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savants ont en effet trouvé trois potentiels d'ionisation voisins qui s'identifient bien avec Lli2, £3i4 et £5i0 respectivement. Le Tableau suivant compare les énergies (exprimées en fréquences rapportées à celles de Rydberg), que nous avions calculées par les combinaisons, et celles observées expérimentalement
Il semble donc que, dans les expériences de Mohler et Foote, l'ionisation ait été assez complète pour faire apparaître ces niveaux anormaux. Or, on sait que, dans la jauge à ionisation par exemple, elle est totale.
III. Les véritables lignes d'ionisation semblent, dans la série. L, se faire de plus en plus rares. Dans une précédente Note, (') nous avions sign alé un faible satellite de haute fréquence par rapport à la ligne Ly,, du baryum (2067,5 X) et l'avions interprété comme une telle ligne. Or, il nous paraît t aujourd'hui certain que cette raie (y, 2), qui doit être un doublet, n'est pas autre chose que le troisième terme O2)3L3 d'une seconde série L3 de formule (2, s) (m, d) où m = 3, 4 et 5. Le premier terme est constitué par les lignes ^8 et (î9 et le second l'est par y9 qui doit aussi être un doublet. Cette série correspond à une variation de deux unités du quantum azimutal. Ses termes présentent exactement les mêmes caractères et les mêmes rapports d'intensité que ceux de la série L3 normale (2, s) (m, p), mais ils sont environ cent fois moins intenses. Les raies que nous avions tout d'abord considérées comme exclues se classent donc, elles aussi, en séries du type optique (2) si bien que la symétrie du système, que M. L. de Broglie et nous avons obtenu, devient complète.
PHYSIQUE MOLÉCULAIRE. Sur les rayons (3 secondaires produits dans un gaz par des rayons X. Note de M. PIERRE Auger, présentée par M. Jean Perrin.
J'ai cherché dans ce travail à obtenir, à l'aide de la méthode C.T. R. Wilson, quelques précisions sur les trajectoires des électrons arrachés aux (1) Comptes rendus, t. 174, 1922, p. i543.
(2) Le doublet exclu (3u s est probablement, lui aussi, le premier terme d'une série (7,p)–(m,p).
MUVi 11UUQ UT1V/UO Uait-Ul^VO P >j*J \s\J 111 K> 1 11 fAl iJ\J HÂ & j VI* Vi<ulllji3 \JLJi3\jl, VjKsB LAIJL.11mentalement (~
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Éléments. Obs.. Calc. Obs. Cale. Obs. Cale.
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S 9,0 8,68 » 10,8 11,2 11,8
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