Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 52 à 52 sur 862

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Bulletin monumental / publié sous les auspices de la Société française pour la conservation et la description des monuments historiques ; et dirigé par M. de Caumont

Auteur : Société française d'archéologie. Auteur du texte

Éditeur : Lance (Paris)

Éditeur : Frère (Rouen)

Éditeur : Marie-Viel (Caen)

Éditeur : Société française d'archéologieSociété française d'archéologie (Paris)

Date d'édition : 1878

Contributeur : Caumont, Arcisse de (1801-1873). Directeur de publication

Contributeur : Cougny, Gustave de (1815-1895). Directeur de publication

Contributeur : Palustre, Léon (1838-1894). Directeur de publication

Contributeur : Marsy, Arthur de (1843-1900). Directeur de publication

Contributeur : Lefèvre-Pontalis, Eugène (1862-1923). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32731059c

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32731059c/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 61979

Description : 1878

Description : 1878 (SER5,T6 = VOL44).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k308719

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 94%.


DECOUVERTE DE THERMES

AUX ENVIRONS DE RODEZ

(AYEYRON)

Nous promenant un jour avec un ami sur les bords du Lauterne, petit cours d'eau qui contourne en partie la ville et va, non loin de là, se jeter dans l'Aveyron, nous remarquâmes un exhaussement de terrain qui nous parut assez extraordinaire.

Le petit monticule, en effet, se dressait isolément au milieu de la plaine et présentait sur toute sa surface un grand nombre de très-petits fragments de briques. Tout à côté, le long d'une haie, gisaient des fragments plus considérables portant les marques ordinaires de leur origine gallo-romaine; puis çà et là de grandes lignes grisâtres tranchaient vigoureusement sur le vert tendre de la prairie et dessinaient tantôt de longs parallélogrammes, tantôt des circonférences plus ou moins développées. Il fut trèsfacile de reconnaître, dans ces lignes, symétriquement disposées, de vastes substructions sur lesquelles de persévérentes chaleurs n'avaient pu laisser au gazon qui les recouvrait, qu'une misérable et languissante vie. L'ami qui m'accompagnait voulut bien relever sur une feuille de son carnet ces lignes énigmatiques. Le crayon manquant,