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Titre : Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : Bachelier (Paris)

Éditeur : Gauthier-VillarsGauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1897-07-01

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343481087/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 454219

Description : 01 juillet 1897

Description : 1897/07/01 (T125)-1897/12/31.

Description : Collection numérique : Originaux conservés aux archives de l'Académie des sciences

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k30813

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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dans la croûte noire qui les revêt de toutes parts. Et le fait se continue même pour des masses très conductrices de la chaleur, telles que les blocs de fer métallique. Sur ceux-ci encore, s'étend une très mince écorce fondue et oxydée (exemple fer de Braunan); mais, immédiatement au-dessous, le métal a conservé, à l'état d'occlusion, des gaz qu'un échnuffement relativement faible suffirait à- lui faire perdre.

» Ces singularités s'expliquent, sans doute, par la température extraordinairement basse des parties internes des masses météoritiques ce n'est que le froid de l'espace interplanétaire dont elles sont imprégnées. On n'en peut citer de meilleur exemple que la pierre de Dhurrusalla, Indes (i4 juillet 1860), dont les fragments recueillis immédiatement après la chute et tenus dans la main pendant un instant étaient tellement froids que les doigts en étaient transis. D'un autre côté, dans son intéressante étude sur les météorites tombées à Alfianello, près de Brescia, en Italie (16 février i883), M. Bomlicci note que la surface d'une cassure faite aussitôt se montra extrêmement froide (freddissirno).

» En présence des questions qui restent encore à élucider, concernant la température des météorites, on reconnaîtra, je pense, que les notions procurées par la pierre d'Indarck ont un incontestable intérêt. » HYDROLOGIE. Sur la contamination de la source de Sauve ( Gard). Note de M. E.-A. Mautel, présentée par M. Albert Gaudry.

« J'ai déjà appelé l'attention, à diverses reprises (Comptes rendus, 21 mars 1892, 13 janvier et 16 novembre 1896), sur le danger permanent de pollutions malsaines, auquel se trouvent exposées la plupart des sources des terrains calcaires, par suite de la fissuration de ces terrains (où lés eaux suintent à travers les fenles des rochers, au lieu d'imbiber leur masse par porosité), et à cause de la funeste habitude qui consiste à précipiter les cadavres d'animaux dans les plus larges de ces fissures (avens) ou à laisser pénétrer les ordures dans les plus étroites. Une récente expérience pratique, faite avec la collaboration de MM. A. Viré et P. Faucher, a mis une fois de plus en lumière les graves conséquences de cette incurie et le peu de sécurité que présentent;les calcaires, au point de Vue de la filtration des eaux potables.

» La petite ville de Sauve (environ 2 5oo habitants), entre Nîmes et le