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Titre : Archives des sciences physiques et naturelles / par MM. de La Rive, Marignac et J. Pictet

Éditeur : A. Cherbuliez (Genève)

Éditeur : Bibliothèque universelleBibliothèque universelle (Genève)

Date d'édition : 1907

Contributeur : Pictet, François-Jules (1809-1872). Rédacteur

Contributeur : Galissard de Marignac, Jean-Charles (1817-1894). Rédacteur

Contributeur : La Rive, Auguste de (1801-1873). Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 1907

Description : 1907 (PERIODE4,T23).

Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Europe

Description : Collection numérique : Thème : Les échanges

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k299127p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/10/2008

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COMPTE RENDU DES SEANCES

DE LA SOCIETE NEUCHATELOISF. DES SCIENCES NATURELLES

SeaMcc ~M 9 Mocem~'e /.906.

Schaidt. Géologie du orque de Saiut-Su]pice.

M. le prof. ScHAiiDf parle de la ~eo~</i<' du cM'~<(c <~ St-SM~tcc. Ce cirque a été creusé dans un antictinat à la fin de l'époque glaciaire. Le gl acier du Rhône avait bien envoyé une langue jusqu'au fond du \'a) de Travers, mais c'est le glacier jurassique subséquent au retrait de (a glaciation alpine qui a le plus ét'odé )'amphithéâtre. De formidables moraines sur lesquelles se dé~etoppent d'admirables forêts sont les témoins de ces époques passées. On sait qu'à St-Sulpice s'exploitent des marnes a ciment. Or pendant longtemps on a cru qu'il s'agissait de deux couches bien distinctes, les marnes argoviennes et les marnes du Furcil de t'étage bathonien. La question avait déjà été soutevée il y a plus de trente ans par le regretté Jaccard qui ne croyait a ['existence que des marnes argoviennes. Li tectonique apparente lui donnait tort, M. Schardt s'est rendu sur les lieux pour s'éctairer non seulement par la topographie, mais par les fossiles. H a été ators convaincu d'une manière décisive qu'a St-Suipice il n'y a que des marnes argoviennes et que i'erreur longtemps admise etait due à un pli faitte d'une certaine importance. Scaorg f~t 30 xoo<'<«~'<

E Le,,iaudroy Recherches hypsometrtque~ theiy. i'asc.d et ';es détracteurs

M. le prof. E. LËGKA\Dno~ communique les résultats de ses ~ec/t<e/)M /t)/p.s~)ttc'<MM. Le but de ses recherches était l'estimation du degré de précision qu'on peut attribuer au résumât de mesures barométriques non s<mM~a.«fM;