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Titre : Archives des sciences physiques et naturelles / par MM. de La Rive, Marignac et J. Pictet

Éditeur : A. Cherbuliez (Genève)

Éditeur : Bibliothèque universelleBibliothèque universelle (Genève)

Date d'édition : 1907

Contributeur : Pictet, François-Jules (1809-1872). Rédacteur

Contributeur : Galissard de Marignac, Jean-Charles (1817-1894). Rédacteur

Contributeur : La Rive, Auguste de (1801-1873). Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 54236

Description : 1907

Description : 1907 (PERIODE4,T23).

Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Europe

Description : Collection numérique : Thème : Les échanges

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k299127p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/10/2008

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Comment une méthode si différente de la méthode écliptique, et dont l'équivalent n'apparait chez nous que dans les temps modernes, a-t-elle pu s'établir à une époque si recu)ée? L'examen astronomique des 28 sieou (étoi)es fondamentales) permet de répondre à cette question.

En reconstituant, sur un globe, l'état du ciel à l'époque du plus aRcien document astronomique (24" siècle, environ) J.-B. Biot a découvert que la plupart des sieou ont été choisis par correspondance avec la position horaire des principales étoiles circompolaires. )t a constaté, en effet (et il est facile de le vérifier, quoique aucun de ses détracteurs n'en ait pris la peine) qu'aux lacunes circompolaires correspondent des lacunes d'étoiles fondamentales et qu'aux groupements compactes de circompolaires correspondent de faibles intervalles dans les sieou.

Il a montré, en outre, que les étoiles fondamentales n'ont pas été choisies pour correspondre uniquement au passage des circompolaires au méridien supérieur, mais aussi pour repérer les passages au méridien inférieur'. Cela est établi avec certitude par le fait (ignoré avant Biot) que les étoiles fondamentales sontdiamètralement opposées l'une à l'autre, ce qui est inexplicable si elles n'ont été choisies par paires dans le prolongement équatorial de la direction AP et PA

Chose curieuse, ces importantes découvertes de Biot On appelle ctreompo!at<'e une étoile assez voisine du pôle pour rester toujours au-dessus de l'horizon (c'est-à-dire à moins de 36° à la latitude de la Chine primitive). Le passage au méridien d'une circompolaire peut donc s'observer au-dessus et au-dessous du pOle.

P étant le pôle et A une circompolaire.