des types de forme donnée et applicables par suite à ces seuls types.
Quant à la position exacte des objets durant leur cuisson, elle ne saurait que rarement être déterminée avec précision, et cela rend inutilisable une grande quantité de matériel qui, sans cela se prêterait avantageusement à l'étude. I) en est ainsi en particulier des poteries d'argile, dont il faut se contenter d'apprendre si, au four, elles se dressaient sur leur base ou sur leur bouche, en admettant implicitement qu'elles étaient placées sur une sole horizontale, supposition d'aiiteurstégitime pour les pièces de belle céramique. Les poteries pour ces diverses raisons ne peuvent nous renseigner que sur la grandeur et le sens de l'inclinaison magnétique terrestre.
Pour connaître la déclinaison, il faut étudier des argiles dont la position soit restée invariable depuis le moment de leur cuisson, telle la brique naturelle des régions volcaniques.
Le peu que nous savons encore aujourd'hui de l'histoire magnétique de la Terre, ne nous autorise pas pourtant à rien négliger des éléments d'information à notre disposition, et c'est pourquoi l'effort des continuateurs de Fotgheraiter s'est porté à la fois vers l'étude des poteries d'argile et vers celle des briques naturelles.
Leurs recherches nous arrêteront quelques instants. Etude des poteries (t~cteM~es.
C'est en vue de cette étude que M. Foigheraiter a mis en oeuvre sa méthode et c'est de lui que nous tenons les premiers résultats dans ce domaine.