Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 474 à 474 sur 650

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Archives des sciences physiques et naturelles / par MM. de La Rive, Marignac et J. Pictet

Éditeur : A. Cherbuliez (Genève)

Éditeur : Bibliothèque universelleBibliothèque universelle (Genève)

Date d'édition : 1907

Contributeur : Pictet, François-Jules (1809-1872). Rédacteur

Contributeur : Galissard de Marignac, Jean-Charles (1817-1894). Rédacteur

Contributeur : La Rive, Auguste de (1801-1873). Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 54236

Description : 1907

Description : 1907 (PERIODE4,T23).

Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Europe

Description : Collection numérique : Thème : Les échanges

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k299127p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/10/2008

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 90%.


b) Cette aimantation persiste sans altération appréciable aussi longtemps que l'argile n'est soumise ni à une nouvelle cuisson ni à un champ magnétique plus intense-que celui qui lui a donné naissance. Nous aurons plus tard l'occasion de revenir dans la discussion sur ces deux points, pour l'instant nous les regarderons comme acquis.

Dans ces conditions une masse d'argile ainsi aimantée, reste un témoin infaillible de l'état du champ magnétique à l'époque de sa cuisson et peut servir ultérieurement à en teconnaître les grandeurs caractéristiques, direction, sens, voire même intensité. Il suffit pour cela que nous connaissions la fonction qui lie la distribution de l'aimantation rémanente au champ qui l'a produite.

Si ce champ est celui de la terre et si de l'examen magnétique d'un objet cuit dans ce champ, on a pu déduire sa direction par rapport à cet objet, la seule connaissance de la position géographique de cet objet lors de la cuisson, servira à déterminer complètement les éléments, inclinaison et déclinaison, du magnétisme terrestre, à l'instant et à l'endroit considérés. Hâtons-nous de remarquer que !a direction du champ agissant ne peut être déduite de la distribution magnétique résiduelle de l'objet, que dans des cas relativement rares. Il y faut à la fois une allure très régulière du champ (champ uniforme, tel que le champ terrestre, par exemple) et des formes d'objets géométriquement simples cube, cylindre, etc.

Dès que les formes se compliquent, même très peu (corps de révolution, vases, etc.), force est d'avoir recours à des formules, empiriquement établies pour